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 Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume.

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MessageSujet: Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume.   Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume. EmptyLun 22 Mar - 22:18

ABEY SORA IBARRA ZUAREZ
feat. Mila Kunis


    Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume. Wj88sy

      DATE DE NAISSANCE : 27 décembre.
      LIEU DE NAISSANCE : Tijuana au Mexique.
      GROUPE SANGUIN : AB+
      STATUT SOCIAL : Célibataire, et ne s'en porte pas plus mal.



    NOTHING & EVERYTHING

      OCCUPATIONS DIURNES : A Tijuana, sa ville de naissance, et celle où elle a plus ou moins grandie, partagée entre le Mexique et Los Angeles, la jeune femme travaillait pour l’un des cartels de drogue du pays, tout comme son père, ou plus exactement, sous l’influence de son père, n’ayant pas vraiment le choix de les couvrir lorsque les autorités venaient au garage qui leur appartenait. Ou bien encore par la suite de servir de contact à Los Angeles à ces hommes plutôt dangereux, tandis qu’elle-même dansait dans un club, bien qu’elle avait le secret désir de devenir enseignante pour offrir une chance aux jeunes, qu’elle avait pour la plupart vu se faire embrigader dans le cartel, tout comme elle au fond. Pour cela, elle suivait à l’époque des cours du soir, son travail payant plus que largement le loyer et les courses.

      Aujourd’hui, elle a tendance à dormir le matin, du moins dans cette ville où elle s’est installée depuis quelques semaines, travaillant dans tous les sens du terme durant la nuit qui est devenu son univers, puisque c’est à ce moment de la journée qu’elle danse et qu’elle chasse. Abey s’avérant être une délicieuse stripteaseuse, tandis qu’en parallèle, une fois ses obligations budgétaires accomplies, elle part parfois en chasse… Jouant à l’appas, ou participant pleinement… d’autant plus qu’elle déteste être désarmée depuis une certaine mésaventure. Mais d’une manière ou d’une autre, elle fait généralement partie du plan, sauf si elle considère avoir besoin de repos. Les autres ont bien des jours de congé, pourquoi pas elle ?

      D’autre part, elle ne passe, fort heureusement, pas sa journée à dormir, et lorsqu’elle se lève, elle aime lire, glisser ses mains dans le cambouis… très sexy comme vous pouvez le constater. En vérité, elle adore sa moto puisqu’elle lui vient de son père, et en prend donc un très grand soin. Véhicule qui fait d’ailleurs généralement le voyage, lorsqu’ils doivent changer de ville, à l’arrière du pick-up, fixé par des sangles et une béquille de transport. Elle a également tendance à s’entraîner au tir, car oui, la demoiselle a un port d’armes en règle, et a donc l’autorisation, voir même l'obligation, de se rendre quotidiennement dans un stand de tire. Elle peut également avoir envie de sortir, de profiter de son après-midi, de faire du sport… ou s’acheter à manger, car dans ses habitudes de garçon manqué -pour certaines-, elle a négligé la partie "apprentissage de la cuisine", et ne sait donc faire que le B.A.BA, autrement dit des pâtes, des œufs, des steaks, et réchauffer des boîtes.

      CONVICTIONS : Abey a découvert il y a de cela environ six ans, comme le commun des mortels, que l’obscurité comprenait bien des monstres, de ceux capables de se gorger de votre sang, avec ou sans votre consentement. Enfin, disons que ce fameux détail n’est venu qu’au bout de quelques semaines, ne connaissant de ces moustiques mutants que ce que les livres avaient bien voulu lui confier à leur sujet. Et autant dire que L.A. avait son lot de sangsues, comme un peu partout dans le monde, mais elle ne leur voulait pas de mal à proprement parler… Après tout, tant qu’ils ne l’approchaient pas, qu’ils n’essayaient pas de la mordre, elle n’y voyait aucun problème. D’autant plus si d’autres appréciaient cette pratique dégradante de servir de repas sur pattes. Bien qu’elle n’apprécia pas de voir l’une de ses collègues, totalement contre les morsures, revenir un beau soir sans même savoir pourquoi elle avait donné de son sang. Autant dire que si cela lui était arrivé à ELLE, elle aurait trouvé cela un peu gros, étant donné sa phobie des piqures, et que… contrairement à ce que l’on pourrait lui assurer, les machins pointus qui leur servaient à transpercer la peau… c’était fait pour avoir le même effet que des seringues.

      Mais le pire fut sans doute qu’alors que son père aurait pu se faire abattre depuis bel lurette par le cartel, ce fut l’un de ces cadavres ambulants qui eut sa peau. Certes, il s’était mis à les chasser depuis déjà quelques mois, s’avérant plus que convaincu qu’il s’agissait là de créatures du malin, et ce avec un groupe d’allumés, mais tout de même… on ne touche pas à Fernando Ibarra Olivera sous peine de fâcher sa fille. D’autant plus que les accusations pour meurtres, viols, infanticides… commençaient à fuser, et que la première, ainsi que la seconde, lui paraissait plus que plausible sous le souvenir des discours de son père, des faits, etc. Ainsi, la jeune femme changea radicalement de position au sujet de ces êtres de la nuit, et si elle n’affichait pas clairement son opinion, dans le sens où elle aimerait donner raison aux paroles de la Bible : « Car tu es poussière et tu retourneras à la poussière », elle rempila à la place de son père, acceptant même de servir d’appas sans rechigner, malgré sa crainte des canines. Un exploit en somme lorsqu’on la connaissait, qu'elle accepte de bien vouloir jouer à la pauvre petite fleur fragile, ou à la fille désireuse de goûter à l’étreinte.

      En d’autres termes, on pourrait facilement penser qu'elle faisait parti des Défenseurs de la Lumière, ce qui en vérité ne serait pas un tord, mais elle n’aimait pas les fanatiques, et ce groupuscule lui semblait aussi fou à lié que ceux de l’Ordre de l’Ombre, à croire que le monde visait à s’articuler autour des cadavres ambulants. Elle, elle se serait sans doute choisi une autre voie si son père n’avait pas été tué, et puis sincèrement… qui serait assez crétin pour croire à la superpuissance des êtres humains ? Elle n’aimait tout simplement pas ceux qui empiétaient sur ses plats de bande, ou qui touchaient à sa chère existence… si cela n’avait pas été les vampires, cela aurait sans doute été le cartel. La vengeance s’avérant être sa plus belle motivation.

      SIGNES PARTICULIERS :
      - Abey signifie "feuille" et Sora signifie "oiseau chantant qui prend son vol". Contrairement à ce que l'on pourrait penser, ce ne sont pas des prénoms mexicains, juste un amour de sa mère pour les amérindiens du nord.
      - Ibarra est le nom de famille lui venant de son père.
      - Zuarez est le nom de famille lui venant de sa mère.
      - La jeune femme a à présent 26 ans.
      - Elle porte les traces d'une morsure à sa gorge... mésaventure qu'elle reproche toujours à ses compagnons de chasse puisqu'elle a tout simplement failli y "passer".
      - Elle sait tirer avec une arme à feu et se battre à main nue. Aussi, elle est capable de mettre sans le moindre problème une raclée à un homme trop entreprenant.
      - Elle déteste prendre l'avion, et se shoote lorsqu'elle doit grimper dans l'une de ces maudites carlingues.
      - A force de trainer avec des hommes, Abey a appris à tenir l'alcool aussi bien que certains membres de la caste masculine.
      - Elle ne supporte pas les films trop romantiques... trouvant surfaite l'histoire du prince charmant idéal. Encore un point pour lequel il faut remercier le fait d'avoir été élevé au milieu d'hommes.
      - Généralement, c'est l'appas à la chasse, allez savoir pourquoi on la pense souvent inoffensive, plus encore en talons aiguilles et jupe courte.
      - Elle ne marque pas beaucoup lorsqu'elle prend des coups, un grand merci à grand maman Zuarez dont elle a hérité ces gènes.
      - Les aiguilles sont une hantise... sa hantise... sa phobie... et si elle n'est pas à l'agonie, il est clair qu'elle ne laissera personne lui en enfoncer une ou que ce soit. Autant dire que c'est un peu la même chose qu'elle ressent vis-à-vis des morsures de vampires.
      - Elle cumule les petits jobs depuis quelques années, principalement serveuse et stripteaseuse.
      - La demoiselle est stripteaseuse au FEVERISH SYNDROME où elle avait postulé à son arrivée... manque de chance, ce sont plus ses talents sur la piste qu'avec un plateau qui y ont retenu l'attention. Bien que celle qui danse gagne plus que celle qui sert, et qu'elle n'a nulle honte de déclarer haut et fort ce qu'elle fait pour gagner sa pitance.
      - Elle n'a rien d'une cuisinière dans l'âme... confiez-lui votre cuisine, et vous n'êtes pas certain de la retrouver entière.




Dernière édition par Abey I. Zuarez le Mer 24 Mar - 21:34, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume.   Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume. EmptyLun 22 Mar - 22:18

    BREAKDOWN & CONFESSION

      ANECDOTE :

    Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume. Dmplp1
    (c) Misery Angel

    « J’essaie désespérément de trouver le sommeil sans qu’il ne daigne me reconnaître, voir même me trouver. Hantée par la culpabilité… une affirmation qui pourrait fort bien me convenir quand je songe que je n’ai pas été là pour mon père, même si je ne suis pas certaine que ma présence aurait pu changer quoi que ce soit à l’inévitable qui s’était produit cette nuit-là… mais au moins, je n’aurais pas été avertie de son décès par un simple coup de fil. Je n’aurais pas appris qu’il en était même venu à payer un employer pour s’occuper du garage durant son absence, lui qui à présent sillonnait les Etats-Unis en compagnie d’une bande de fous à lié. Mais peut-être ne devrais-je pas en parler comme ça, sinon cela voudrait dire qu’il était aussi… mais il l’était au fond. Pourquoi nier l’évidence, travailler pour le cartel n’avait pas été plus sensé… être un dissolveur de cadavres, non mais quelle idée !

    Je me souviens encore de la première fois où je l’avais vu rentrer de l’une de ses missions, la chemise pleine de sang séché, dissimulée jusqu’ici par la veste qu’il portait… cela avait été un choc, et il n’avait eu d’autres choix que de me prendre sur ses genoux pour m’expliquer la dure réalité de notre existence à Tijuana : ma mère, américaine d’adoption avait beau m’avoir transmis la double nationalité à ma naissance, elle était morte d’une hémorragie après m’avoir mise au monde, et impossible dans ces cas-là de remonter aux USA, du moins pour mon père… Et puis il y avait le cartel, assez puissant encore à cette époque, contrairement à ce jour… la famille dirigeante semble vouloir disparaître graduellement. Mais là n’est pas la question, il n’avait pas vraiment eu le choix, seul pour s’occuper de moi, les revenus du garage ne suffisaient pas, et puis il savait ce qu’il advenait de certaines gamines lorsqu’elles atteignaient l’âge de douze ans.

    Il découpait donc, faisait disparaître des cadavres à l’occasion, dissimulait certains êtres du cartel dans ses locaux lorsqu’il le fallait… de toute manière, à cette époque, la majorité de la police locale trempait dans le trafic, et elle fermait donc bien volontiers les yeux sur ce qu’il s’y passait. Mais brusquement je comprenais mieux sa ténacité à vouloir que je sache me défendre, le monde n’avait rien du conte de fées roses auquel l’univers voudrait faire croire aux petites filles. Je l’ai compris trop tôt pour songer à l’innocence des baisers, à la candeur joueuse du premier amour… j’ai vu le sang, j’ai vu les armes, je les ai tenues, j’ai assisté à cette violence naissante, ne côtoyant que principalement des êtres liés de près ou de loin à l’univers de la drogue, que même si on n’avait pas les moyens de la consommer, on aidait à transporter, à revendre, d’une manière ou d’une autre.

    Nul doute que ma parole aurait fortement intéressée la police américaine, d’ailleurs elle me l’avait clairement fait savoir un jour où elle avait appris que j’avais hébergé un homme de main du cartel durant quelques jours, prétextant avec un naturel désarmant qu’il s’agissait d’un ancien ami d’enfance… de toute manière, ils n’avaient rien contre moi, j’étais légalement aux Etats-Unis, de même que j’exerçais une profession en règle, et que je possédais un permis pour l’arme que je gardais dans mon casier au club lorsque je travaillais, ou bien à ma taille, sous ma chemise, lorsque je déambulais dans les rues de L.A. Je ne me suis jamais plainte de ce que fut ma vie, de ce qu’elle est encore, on ne choisit pas où l’on naît, par contre, on prend toujours les décisions qui suivent, celles qui vous conduisent sur la bonne ou la mauvaise pente.

    J’avais toujours pensé que mon père se ferait descendre par le cartel parce qu’il serait devenu encombrant, un vulgaire tueur à gage serait déjà depuis belle lurette six pieds sous terre… mais contrairement à ça, on m’avait expliqué lorsque j’étais arrivé qu’il était mort sous les crocs d’un vampire qu’ils avaient ensuite réussi à descendre, alors que des américains, jeunes… nouvellement formés, apprenaient aux côtés de cet étrange organisation, qui, il ne fallait pas être idiot, se revendiquait comme faisant parti des Défenseurs de la Lumière. En fin de compte, il est mort, son corps est froid, et malgré mon éducation dans l’univers risible de la mort, compagne de chaque instant dans nos vies, les taches maculant ces pages témoignent de mes larmes nocturnes, de ma rancune pour cette créature des ténèbres que je ne pourrai même pas exécuter. […]
    »

    Trois petits coups retentirent à la porte de sa chambre, tandis qu’elle relisait le texte qu’elle tenait entre les mains, qu’elle plia soigneusement, avant de se lever, laissant le tissu sombre de sa robe glisser fallacieusement au contact de ses cuisses, pour la laisser gagner cette poignée qu’elle ouvrit pour découvrir Luis, membre officiel du cartel, dans l’embrasure de la porte, ex petit ami de son état qu’elle avait tout simplement quitté parce qu’elle ne l’aimait pas au point de subir sa jalousie maladive… Non, il n’avait été qu’un passe-temps quelconque, une rencontre, il était là, celui que son père n’aurait surtout pas voulu voir avec sa fille. Mais il n’était pas là exclusivement pour elle, tout comme d’autres hommes du cartel, ils étaient là pour rendre un dernier hommage à l’un des leurs… une hypocrisie sans borne selon Abey, puisque l’organisation aurait eu tôt ou tard sa peau, et sa rancœur n’aurait alors pas été aux créatures de la nuit, mais bel et bien à eux.

    « Tu es prête, la procession n’attend plus que toi.
    - Je suis prête. » répondit-elle en s’emparant de son sac à main dans lequel elle avait glissé son arme à feu qu’elle ne pouvait décemment par garder à sa taille vu la finesse du tissu qui la recouvrait. Alors qu’après avoir saisi son châle, il le faisait glisser sur les épaules de la jeune femme, un vague murmure trépassant de ses lèvres, venant s’échouer près de sa nuque, comme s’il s’apprêtait à y laisser voguer ses lèvres envieuses d’un passé encore trop présent.
    « Je suis désolé pour ton père…
    - On sait tous les deux qu’il serait mort d’une manière ou d’une autre.
    - Pas forcément…
    - Luis, ne me prend pas pour une idiote, j’ai grandi de la même manière que toi, à la différence que j’ai choisi de m’éloigner de tout ça du mieux que je le pouvais. » dernières paroles qu’elle laissa filer, avant de rejoindre la rue, les personnes qui laissèrent leurs mains s’immoler sur ses épaules, avant qu’elle ne parvienne derrière le cercueil où elle aurait dû être seule, mais c’était sans compter sur l’homme qui était venu la chercher à l’étage, et qui contre toute attente, joua la carte du fils par alliance, se plaçant à ses côtés, tandis que le reste des habitants venus rendre un dernier hommage aux cadavres, suivait derrière eux.

    Les autres avaient attendu la fin du rite, que la foule commence à se disperser, qu’elle ait déjà glissé sur le cercueil ces mots jeter sur le papier plié que la terre dévorerait bientôt, que les petites figurines de papier ornent la pierre tombale encore de bois. Silencieuse, elle n’avait pas bougé d’un cil lorsque Luis posa une main consolatrice sur son épaule, avant de s’éloigner, dardant sur ces garçons se tenant un peu plus loin, ceux qui avaient appris avec son père, ceux qui travaillaient avec lui contre les créatures des ténèbres, et qui brusquement se rapprochèrent sans un bruit, l’un d’eux seulement, prenant la parole… Si jeune, si vieux… elle n’en savait rien, ne connaissait même pas son nom, mais c’était lui qui l’avait appelée pour lui apprendre la mort de son père, le rapatriement de son corps au Mexique.

    « Qu’est-ce que vous allez faire ?
    - Vendre le garage…
    - Et après ?
    - Buter ces fils de pute. » laissa-t-elle filer de ses lèvres pincées, ses poings se contractant simplement.

    Il ne fallait pas être devin pour savoir que celui qui se trouvait près d’elle n’aurait jamais osé déposer une main sur son épaule, qu’il pourrait fort bien la suivre jusqu’au bout du monde tant qu’elle ne changeait pas d’idée, que sa décision était bien prise. Ou bien encore tout simplement l’aider un temps, tandis que dans un autre instant, il serait lui, à l’autre bout du monde, à s’occuper de ses propres affaires. Abey avait tout d’un ange échoué du ciel, ses grands yeux bruns-verts rappelant qu’elle n’avait sans doute pas que des origines mexicaines, qui s’était damné des années auparavant, parfaitement consciente que le monde ne tournait pas rond, pourtant elle n’avait toujours pas accepté de rejoindre le Diable, et ce malgré tout ce que la population pouvait penser d’elle… danseuse, Jézabel, ou bien simple demoiselle, il ne fallait jamais oublier qu’elle n’avait rien de la petite poupée un peu trop docile, mais bien plus de celle prête à tout pour parvenir à ses fins. Elle négligerait cet avenir dont elle avait rêvé pour embrasser une autre destiné bien différente.

    Soul lost… j'ai perdu de vue le paradis pour affronter les enfers.

    Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume. 978ugo
    (c) Misery Angel

    23 Janvier 2007 :

    Un petit sourire moqueur ornant ses lèvres, la jolie brune se contentait de fixer l’écran alors que la publicité prenait fin, et qu’elle ne se préoccupait ni de l’aspect miteux de la chambre de motel dans laquelle elle se trouvait à cette seconde, ni des lèvres envieuses qui cherchaient désespérément à attiser son désir en sinuant sur sa gorge, ses doigts venant à ramper sur sa taille délicate… mais rien n’y faisait, Abey restait désespérément attentive à l’émission de la Lsi où la présentatrice recevait Patsy McDouglas, et, par téléphone interposé, Adam Murnau, vampire de son état. Une ‘rencontre’ qui devrait être haute en couleur et qu’elle ne voulait très certainement pas manqué pour une vulgaire partie de jambe en l’air avec l’un de ses compagnons de route et de chasse. Était-ce un crime de mêler travail et plaisir ? D’autant plus quand nul sentiment ne venait s’interposer ? Passerait-elle pour une trainée pour autant ? Pas à son sens, pas dans la logique de son esprit pratique… puisqu’elle ne lui avait cédé que parce qu’elle avait eu envie de lui, que cela se reproduisait rarement, et qu’ils avaient convenu que leur arrangement n’irait pas plus loin : pas de crise de jalousie, pas de ‘je t’aime’ à tout va… Rien qui fasse penser à un couple digne de ce nom.

    « Arrête tu veux, je voudrais écouter.
    - Moi j’ai envie…
    - … de baiser je sais. Va prendre une douche froide.
    - Abey… all… » s’interrompit-il brusquement, perdant son souffle sous la coup peu sympathique que la jeune femme venait d’infliger à ses testicules. « Sal…
    - … Salope je sais. Tu te répètes Devon. » lui répliqua-t-elle en lui dédiant son éternel petit sourire moqueur.

    Juste à l’instant où la publicité se glissait parmi l’émission, juste à l’instant où le troisième comparse venait à pénétrer dans la pièce, s’immobilisant juste après le pallier, dardant sur la situation une œillade amusée. Après tout, la scène était plutôt intéressante au fond… Devon se tenant à deux mains ce qui lui servirait peut-être un jour, si cela fonctionnait toujours, à avoir des enfants, tandis qu’Abey relevait la tête dans sa direction, la bretelle de son débardeur baissée.

    « J’interromps quelque chose ? » demanda-t-il comme une fleur, tout en venant s’installer sur le lit à côté de la jeune femme, sans plus s’occuper du valeureux blessé de guerre.
    « Oh toi…
    - Mais vous allez vous taire, j’essaie d’écouter ! » s’exclama-t-elle singulièrement agacée.

    « … que je me trouve en compagnie de Patsy McDouglas, épouse de Richard McDouglas, ancien maire de Sacramento, Californie, aujourd’hui reconverti leader des Défenseurs de la Lumière, une organisation qui prône la superpuissance des êtres humains contre, je cite « la menace vampirique croissante ». Madame McDouglas, c’est un réel plaisir de vous avoir sur ce plateau. »

    Clyde s’ingénia dès lors à suivre également le débat… Extérieurement, on aurait pu penser à un couple à trois, ce qui n’était peut-être pas entièrement faux, puisqu’il lui était arrivé de coucher avec les deux, mais pas en même temps, séparément. Non pas qu’elle en soit venue à se sacrifier pour la cause lorsqu’elle avait senti les tensions se créer entre celui qui avait obtenu ce qu’il voulait, et l’autre qui restait sur la touche, elle s’était simplement laissée aller un autre soir, une occasion comme une autre, unique, ultime avec le second jeune homme qui ne s’en sentait nullement exclu pour autant. En vérité, ce dernier aurait fini par s’attacher un peu trop, et la relation fraternelle qu’ils entretenaient leur convenait bien mieux qu’une vulgaire partie de baise, comme se plaisait à dire Devon. Le second jeune homme était bien plus le frère qu’elle n’avait jamais eu au fond, avec ce petit quelque chose qui disait que s’ils se retrouvaient véritablement bien imbibés, ils pourraient fort bien retenter l’aventure.

    « …Seulement, il nous est impossible de tous les contrôler en dépit de nos efforts pour vous protéger.
    - Du coup on est obligé de faire le sale boulot !
    - Dis tout de suite que ça te déplaît ! » répliqua l’homme à terre au nouvel arrivant.
    « Vos gueules ! » reprit-elle en frappant l’arrière du crâne de Clyde… Ces garçons étaient incapables de se taire… le bon Dieu l’avait-il fait ça exprès pour ennuyer les femmes ? Et après c’était elles celles qui ne savaient pas tenir leur langue ? Le monde à l’envers… c’était vraiment le monde à l’envers.

    « …Je vous le dis haut et fort, je cautionne fortement le fait que des personnes décident de brûler vos demeures ou plantent des pieux dans vos cœurs inutiles. Ces gens ne font qu’agir pour notre bien à tous !
    - Ouais, on fait ça pour sauver le monde ! » ricana Devon partiellement remis. « C’est pour écouter ce ramassis de conneries que t’as pas voulu de moi ? » renifla-t-il en s’extirpant du lit, claudiquant en direction de la salle de bain, où il comptait de toute évidence prendre une douche.

    Cela faisait deux ans qu’elle travaillait avec eux, deux ans qu’elle travaillait avec eux, et d’autres à l’occasion, deux ans que son paternel était mort, qu’elle avait vendu le garage, qu’elle avait abandonné ses rêves et ses espoirs pour cette existence qui n’avait rien de commun avec ce qu’un père digne de ce nom aurait espéré pour sa fille. Deux longues années, et elle n’avait pas l’impression d’avoir réellement vécu. Peut-être dans ces instants où la chasse déchargeait son adrénaline, qu’elle risquait son existence, sa maigre vie qui n’avait au fond pas la moindre importance… mais jamais aucun vampire n’en était venu à enfoncer ses dents dans sa chair. Si déjà pour de simples baisers entreprenant elle se montrait aussi expéditive, pour quelque chose qui la terrifiait… Mais elle n’avait pas encore exercé les effets des pouvoirs vampiriques sur elle, ceux qui étaient morts n’en avaient tout simplement pas eu le temps. Et puis en fin de compte, ils étaient soutenus par bien plus haut, même si les motivations de chacun variaient, sans que cela ait une grande importance. Leurs buts les menaient à la même conséquence, et c’était bien tout ce qui comptait véritablement.

    « Blessé ? » demanda-t-elle d'une petite moue moqueuse.
    « Ouais… »


Dernière édition par Abey I. Zuarez le Mer 24 Mar - 10:33, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume.   Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume. EmptyLun 22 Mar - 22:19

    Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume. 2gtw2s8
    (c) Misery Angel

    Murmures disloqués d’une obscurité mortifère, tandis que la porte donnant sur la ruelle à l’arrière du club possédait des allures d’endroit mal famé, l’humidité y rampait comme un lépreux désespéré, l’odeur ambiante des déchets semblait vouloir se répandre à des kilomètres… enveloppant un New York éperdu et tentateur. Un éclat de rire sembla ainsi s’esquiver de l’embrasure où une jolie brune apparut subitement, une main glacée tenant d’une manière un peu trop possessive la sienne, alors qu’elle s’avançait à présent à reculons, laissant le prédateur la suivre, marcher dans ses pas, jusqu’à ce que son dos ressente le contact d’une froideur brûlante des pierres du mur, la créature de la nuit se rapprochant traitreusement. Permettant à sa seconde main d’effleurer la courbe douceâtre de sa joue délicate, tandis que ses lèvres ne perdaient en rien le sourire aguicheur qu’elle y affichait depuis quelques secondes…

    « Tu devrais songer à retirer cette croix, si tu es tellement désireuse de découvrir ce que je pourrais t’apporter. » susurra-t-il à son oreille, alors qu’elle sentait son cœur battre un peu plus fort.

    C’était imparable, elle avait beau savoir que tout irait bien, que les choses ne déraperaient pas, il fallait forcément que son palpitant s’enhardisse de la présence du danger, qui rendait finalement si véridique les appréhensions parfaitement normales de celle dont elle jouait le rôle. Malgré tout, ses craintes allaient bien plus loin que celles du commun des mortels, car c’était quelque chose capable de provoquer en elle ce maudit sentiment de déraison qui la rendrait passablement hystérique dans le sens où il était absolument hors de question que la pointe d’un objet vienne à pénétrer sa chair sous l’influence d’une piqure. S’exécutant presque à contre cœur, il laissa sa main retrouver sa liberté pour venir décrocher le collier et la croix d’argent qui pendait entre ses seins, avant de chercher à la glisser dans son sac, qu’elle n’eut pas le temps de rejoindre, que la chaîne, son pendentif et son sac, terminaient leur course sur le sol, alors que les lèvres glacées du vampire venaient ramper sur sa peau autrefois préservée.

    Avant qu’elle ne sente l’une de ses mains s’égarer sur sa cuisse, sinuer sur sa peau, avant de la soulever de manière à la faire quitter le contact douceâtre qu’elle pouvait entretenir avec le sol, ses prunelles quant à elles s’ingénièrent à scruter la ruelle, tandis que son visage lui offrait l’opportunité de s’adonner à redessiner la courbe langoureuse de sa gorge. Mais elle ne voyait rien ni personne, les garçons se faisaient attendre… son pistolet et son poignard se trouvaient dans son sac, à même le sol, en compagnie de sa seconde… arme, sa chaîne d’argent. Néanmoins, en toute logique son abandon faisait parti du plan, et elle n’était pas sensé être obligée de coucher avec la sangsue, dont malgré la beauté suave, ne parvenait qu’à l’écœurer. Oh… elle aurait pu faire comme d’autres, coucher avec eux pour ensuite les tuer, ou coucher pour les tuer pendant l’acte, mais elle n’était pas ainsi, et ce ne serait pas encore aujourd’hui qu’elle deviendrait la traînée d’un moustique. Mais qu’est-ce qu’ils faisaient bon sang ?!

    « Si tu cherches tes petits copains, ils sont occupés…
    - Pardon ? De quoi tu parles ? » tiqua-t-elle en frémissant légèrement sous la manière qu’il eut de goûter sa peau du bout de sa langue.
    « Abey… dis-moi, quel est le comble pour un assassin de vampires ? » poursuivait-il dans un souffle…

    La convainquant définitivement que les choses tournaient mal, d’autant plus qu’elle était persuadée de ne pas apprécier la suite de la conversation. Le comble… Oh… elle connaissait d’ailleurs la réponse, tout du moins celles qui étaient possibles. Mais elle n’avait plus tellement envie de faire la conversation, après tout, il connaissait son prénom quand ils ne l’avaient pas échangé, ce qui ne voulait dire deux choses : soit il l’avait déjà observée les nuits précédentes dans son milieu habituel, soit… il avait fait bien plus que cela en découvrant l’activité qu’elle exerçait en plus avec ses petits compagnons. Ce qui, au fond, était le plus logique, et le plus évident. Sans même chercher à faire la conversation, elle se décida à réagir, avec souplesse, elle le frappa, portant avec précision son attaque, dans l’espoir de lui faire perdre contenance, mais si la poigne se desserra une seconde, exprès ou non, la laissant retrouver le contact du sol, ce ne fut que pour une brève seconde, celle où il vint sans lui laisser l’opportunité d’user de son pieu qui termina sa course plus loin dans la ruelle, tandis qu’elle-même revenait trouver le froid du mur, mains immobilisées au-dessus de sa tête, jambes écartées, laissant l’intimité du cadavre se plaquer contre son ventre.

    « Va te faire foutre ! Lâche-moi !
    - Et bien, et bien… où est passé ta politesse ?
    - Elle a pris des vacances à Hawaï. » répliqua-t-elle avec un certain sarcasme, alors qu’il revenait s’imprégner de la fragrance de sa peau, égratignant sa peau du bout de l’une de ses dents, le laissant lécher la gouttelette qui vint dès lors s’en échapper, tandis qu’un fallacieux frisson la saisissait… Pas ça, pas ça, pas ça… se murmurait-elle mentalement.
    « Tu n’as toujours pas répondu à ma question…
    - Se faire tuer par l’un d’eux ? » proposa-t-elle en cherchant à éloigner sa gorge de ses lèvres.
    « Non… devenir l’un d’eux. Qu’en dis-tu Abey… tu voudrais me ressembler ? N’ai pas peur, cela ne fait pas mal. » termina-t-il dans un murmure à peine audible, alors que son regard était revenu joncher le sien.
    « Non… » expia-t-elle dans un souffle étourdi, elle… elle détestait ce sentiment, cette impression, c’était comme s’il cherchait à rouler son esprit, à le modeler de telle sorte qu’elle accepte plus que… non !
    « Tes craintes disparaîtront… plus rien d’autres ne comptera… tu auras de plus grandes capacités, tu pourras… »

    Le reste de ses paroles semblèrent s’évanouirent, alors qu’elle s’abandonnait entre ses bras, tandis que ses crocs s’enfonçaient dans sa gorge, juste au niveau de sa jugulaire et qu’elle laissait un cri s’esquiver de ses lèvres, déjà étouffé par… par… elle n’en savait rien, mais il avait libéré ses mains qui étaient venues trouver refuge sur sa nuque, alors que son sang gorgeait ses veines, et qu’il… Il fallut un cri ou une insulte, elle n’en eut pas parfaitement conscience, ce fut plutôt comme si elle rejoignait le sol sans l’avoir désiré, comme si… Une main lui souleva le visage en s’emparant de son menton, lui laissant entrevoir le visage de Devon… tandis qu’un bruit de pas précipité revenait près d’eux.

    « Elle va bien ?
    - Où il est ?
    - J’ai perdu sa trace. Et Abey ?
    - Ca va… Je suis désolé… on s’est fait avoir comme des débutants.
    - Merde… » laissa-t-elle filer de ses lèvres en portant l’une de ses mains à sa gorge, commençant à réaliser pleinement ce qu’il venait de se passer. « Aide-moi… N’y pense même ! Je rentrerai sur mes deux pieds ! » s’exclama-t-elle en repoussant sa tentative de la prendre dans ses bras.

    Après tout, elle considérait avoir suffisamment joué à la fille de l’air pour ce soir, et… elle voulait quitter cette saleté de ville au plus vite. Rentrer, emballer leurs affaires et ficher le camp. Ce vampire savait, c’était une menace, un danger, et pourtant, il avait agi… seul ? Elle n’en savait même rien, qu’est-ce qui avait pu retenir les autres au fond ? Au point qu’il avait failli la transformer à son tour, ou tout du moins, la vider de son sang. S’accrochant à son compagnon, ce qui l’entourait tanguant comme si elle venait de donner son sang pour les transfusions, chose stupide au fond, quand on savait que son groupe était receveur universel, autrement dit, ses deux comparses pouvaient lui donner de leur sang sans craindre le moindre rejet, mais les aiguilles… une traitresse envie de vomir la tenaillait brusquement, écœurée par ce qu'il venait de se passer, ainsi qu'un impérieux frissons qui lui donnait envie de prendre les jambes à son cou. Alors un autre jour peut-être, à cet instant précis, tout ce qu’elle voulait, c’était partir, s’éloigner, mettre de la distance entre ce type aux dents longues et elle.

    « On s’en va, je veux pas rester ici. Cette nuit on prend la route.
    - T’inquiètes pas, on s’occupe de tout. » lui glissa Clyde en l’aidant à grimper dans la voiture, où elle se laissa aller, sombrant dans une semi-conscience… sursautant au moindre bruit non loin d'elle, la fallacieuse hantise que l'on vienne une nouvelle fois percer sa chair. Oh ça, on l'y reprendrait à jouer les appas ! Ou pas de si tôt, ou avec un excellent plan et des explications valables de ce qu'il venait de se produire.


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OU J'AI CONNU LE FORUM : Sur bazzart.
POURQUOI JE ME SUIS INSCRIT : Le forum me plaisait depuis un moment, mais je n'avais pas vraiment le temps, maintenant que j'en ai, j'en profite !


Dernière édition par Abey I. Zuarez le Mer 24 Mar - 17:14, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume.   Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume. EmptyLun 22 Mar - 22:55

    Bienvenue ! Les nouveaux membres ça manque en ce moment ! Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume. 135426
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MessageSujet: Re: Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume.   Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume. EmptyLun 22 Mar - 23:04

Offciellement, bienvenue I love you
Je réserve la fantastiquement belle Mila Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume. 852801
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MessageSujet: Re: Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume.   Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume. EmptyMar 23 Mar - 7:36

Merci beaucoup à tous les deux Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume. 101208
(Je l'ai re-découverte dans le Livre d'Eli personnellement. Et c'est sa bouille qui m'a inspiré ce personnage xD)
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MessageSujet: Re: Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume.   Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume. EmptyMar 23 Mar - 9:13

Bienvenue. Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume. 622637
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MessageSujet: Re: Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume.   Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume. EmptyMar 23 Mar - 20:46

Merci Sybil Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume. 135426
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MessageSujet: Re: Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume.   Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume. EmptyMer 24 Mar - 21:14

Je n'ai rien à redire ! Les anecdotes sont parfaites (j'aime particulièrement que tu ais intégré l'interview du contexte dans l'une d'elle Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume. 333495 ). Je valide donc et te souhaite un très bon jeu Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume. 174212
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MessageSujet: Re: Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume.   Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume. EmptyMer 24 Mar - 21:34

(Merci Embarassed je m'étais dit que ça l'aurait forcément intéressée vu son "boulot" xD et que ça éclairait la position des trois comparses (a))

Et re-merci beaucoup Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume. 781746 Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume. 802723
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Nellie Sundberg
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MessageSujet: Re: Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume.   Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume. EmptySam 27 Mar - 10:48

Je suis fan de ta fiche, bienvenue. Abey, la feuille sur laquelle trace la pointe de ma plume. 622637
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