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| Sujet: Devon : Compagnon de chasse, ami et amant occasionnel. Jeu 25 Mar - 8:55 | |
| •• L'Amant Occasionnel et le Compagnon de Chasse ••
(c) BRITISH COOKIE & FOX IDENTITÉ : Abey l'appelle DEVON, cela peut-être un surnom, son premier ou son second prénom, pour le reste, vous êtes libres. GROUPE : Humain de préférence, mais il peut être un changeur, voir un doté. STATUT SOCIAL : Célibataire. CARACTÈRE : Dragueur, loyal, protecteur, sûr de lui, secret sur son passé, rusé, moqueur, hédoniste, etc. HISTOIRE : Vous êtes libres à ce sujet, pour les raisons qui l'on poussé à devenir chasseur ou autre. Sachez juste qu'il a appris le "métier", entre autre, au contact du père d'Abey, Fernando Ibarra Olivera, et était plus ou moins relié à ce qui deviendrait les Défenseurs de la Lumière. Il faisait parti de ceux qui ont ramené le corps au Mexique, simple témoin éloigné de ce qui constituerait la décision de la jeune femme à se venger. Il est parfaitement conscient qu'ils ne sont pas les seuls à travers le monde, plutôt indépendant des Défenseurs de la Lumière, ils se savent soutenus par cette organisation, et c'est un poids de moins sans doute. De plus, ils leur arrivent d'être en contact avec d'autres personnes... ceux avec qui il a appris ce métier par exemple.
LIENS :
Abey I. Zuarez : Devon et Abey bossent ensemble, s'entendent bien, se font confiance, mais ont parfaitement conscience d'avoir des caractères forts tous les deux, et par conséquent que les frictions peuvent être fréquentes. Lorsqu'elle le veut bien, ils leur arrivent de coucher ensemble ; c'est occasionnel, épisodique, mais passionné par la simple position de leurs caractères. En vérité, elle souffle simplement le froid puis le chaud. Mais au fond, le plus important est qu'ils travaillent ensemble, et forment un excellent trio avec Clyde, sauf quand il y a des ratés. - Spoiler:
23 Janvier 2007 :
Un petit sourire moqueur ornant ses lèvres, la jolie brune se contentait de fixer l’écran alors que la publicité prenait fin, et qu’elle ne se préoccupait ni de l’aspect miteux de la chambre de motel dans laquelle elle se trouvait à cette seconde, ni des lèvres envieuses qui cherchaient désespérément à attiser son désir en sinuant sur sa gorge, ses doigts venant à ramper sur sa taille délicate… mais rien n’y faisait, Abey restait désespérément attentive à l’émission de la Lsi où la présentatrice recevait Patsy McDouglas, et, par téléphone interposé, Adam Murnau, vampire de son état. Une ‘rencontre’ qui devrait être haute en couleur et qu’elle ne voulait très certainement pas manqué pour une vulgaire partie de jambe en l’air avec l’un de ses compagnons de route et de chasse. Était-ce un crime de mêler travail et plaisir ? D’autant plus quand nul sentiment ne venait s’interposer ? Passerait-elle pour une trainée pour autant ? Pas à son sens, pas dans la logique de son esprit pratique… puisqu’elle ne lui avait cédé que parce qu’elle avait eu envie de lui, que cela se reproduisait rarement, et qu’ils avaient convenu que leur arrangement n’irait pas plus loin : pas de crise de jalousie, pas de ‘je t’aime’ à tout va… Rien qui fasse penser à un couple digne de ce nom.
« Arrête tu veux, je voudrais écouter. - Moi j’ai envie… - … de baiser je sais. Va prendre une douche froide. - Abey… all… » s’interrompit-il brusquement, perdant son souffle sous la coup peu sympathique que la jeune femme venait d’infliger à ses testicules. « Sal… - … Salope je sais. Tu te répètes Devon. » lui répliqua-t-elle en lui dédiant son éternel petit sourire moqueur.
Juste à l’instant où la publicité se glissait parmi l’émission, juste à l’instant où le troisième comparse venait à pénétrer dans la pièce, s’immobilisant juste après le pallier, dardant sur la situation une œillade amusée. Après tout, la scène était plutôt intéressante au fond… Devon se tenant à deux mains ce qui lui servirait peut-être un jour, si cela fonctionnait toujours, à avoir des enfants, tandis qu’Abey relevait la tête dans sa direction, la bretelle de son débardeur baissée.
« J’interromps quelque chose ? » demanda-t-il comme une fleur, tout en venant s’installer sur le lit à côté de la jeune femme, sans plus s’occuper du valeureux blessé de guerre. « Oh toi… - Mais vous allez vous taire, j’essaie d’écouter ! » s’exclama-t-elle singulièrement agacée.
« … que je me trouve en compagnie de Patsy McDouglas, épouse de Richard McDouglas, ancien maire de Sacramento, Californie, aujourd’hui reconverti leader des Défenseurs de la Lumière, une organisation qui prône la superpuissance des êtres humains contre, je cite « la menace vampirique croissante ». Madame McDouglas, c’est un réel plaisir de vous avoir sur ce plateau. »
Clyde s’ingénia dès lors à suivre également le débat… Extérieurement, on aurait pu penser à un couple à trois, ce qui n’était peut-être pas entièrement faux, puisqu’il lui était arrivé de coucher avec les deux, mais pas en même temps, séparément. Non pas qu’elle en soit venue à se sacrifier pour la cause lorsqu’elle avait senti les tensions se créer entre celui qui avait obtenu ce qu’il voulait, et l’autre qui restait sur la touche, elle s’était simplement laissée aller un autre soir, une occasion comme une autre, unique, ultime avec le second jeune homme qui ne s’en sentait nullement exclu pour autant. En vérité, ce dernier aurait fini par s’attacher un peu trop, et la relation fraternelle qu’ils entretenaient leur convenait bien mieux qu’une vulgaire partie de baise, comme se plaisait à dire Devon. Le second jeune homme était bien plus le frère qu’elle n’avait jamais eu au fond, avec ce petit quelque chose qui disait que s’ils se retrouvaient véritablement bien imbibés, ils pourraient fort bien retenter l’aventure.
« …Seulement, il nous est impossible de tous les contrôler en dépit de nos efforts pour vous protéger. - Du coup on est obligé de faire le sale boulot ! - Dis tout de suite que ça te déplaît ! » répliqua l’homme à terre au nouvel arrivant. « Vos gueules ! » reprit-elle en frappant l’arrière du crâne de Clyde… Ces garçons étaient incapables de se taire… le bon Dieu l’avait-il fait ça exprès pour ennuyer les femmes ? Et après c’était elles celles qui ne savaient pas tenir leur langue ? Le monde à l’envers… c’était vraiment le monde à l’envers.
« …Je vous le dis haut et fort, je cautionne fortement le fait que des personnes décident de brûler vos demeures ou plantent des pieux dans vos cœurs inutiles. Ces gens ne font qu’agir pour notre bien à tous ! - Ouais, on fait ça pour sauver le monde ! » ricana Devon partiellement remis. « C’est pour écouter ce ramassis de conneries que t’as pas voulu de moi ? » renifla-t-il en s’extirpant du lit, claudiquant en direction de la salle de bain, où il comptait de toute évidence prendre une douche.
Cela faisait deux ans qu’elle travaillait avec eux, deux ans qu’elle travaillait avec eux, et d’autres à l’occasion, deux ans que son paternel était mort, qu’elle avait vendu le garage, qu’elle avait abandonné ses rêves et ses espoirs pour cette existence qui n’avait rien de commun avec ce qu’un père digne de ce nom aurait espéré pour sa fille. Deux longues années, et elle n’avait pas l’impression d’avoir réellement vécu. Peut-être dans ces instants où la chasse déchargeait son adrénaline, qu’elle risquait son existence, sa maigre vie qui n’avait au fond pas la moindre importance… mais jamais aucun vampire n’en était venu à enfoncer ses dents dans sa chair. Si déjà pour de simples baisers entreprenant elle se montrait aussi expéditive, pour quelque chose qui la terrifiait… Mais elle n’avait pas encore exercé les effets des pouvoirs vampiriques sur elle, ceux qui étaient morts n’en avaient tout simplement pas eu le temps. Et puis en fin de compte, ils étaient soutenus par bien plus haut, même si les motivations de chacun variaient, sans que cela ait une grande importance. Leurs buts les menaient à la même conséquence, et c’était bien tout ce qui comptait véritablement.
« Blessé ? » demanda-t-elle d'une petite moue moqueuse. « Ouais… »
Clyde : Entre eux règne ce que l'on pourrait appeler une compétition masculine, qui fort heureusement a cessé depuis longtemps de comprendre Abey dans l'histoire. Ils sont un peu comme des frères, fait relatif à la particularité de leur amitié très proche, qui peut-être tourne plus ou moins autour de la jeune femme, dans le sens où ils veulent la protéger. Plus encore depuis qu'ils ont l'impression d'avoir quelque chose à se faire pardonner... après tout, New York ne datait que de quelques semaines (voir la relation avec le vampire).
Le vampire échappé : Aucun des trois ne sait qui il est, mais si Abey a raconté à ses compagnons ce dont elle se souvenait, du moins sans le côté "j'ai peur je veux foutre le camp", n'affichant simplement qu'un "il est dangereux, il vaut mieux s'éloigner tant qu'on n'en saura pas plus". Devon s'est fait avoir cette nuit-là, et il s'en veut terriblement... puisque le vampire avait semblait-il préparé son coup à l'avance, jouant sur les faiblesses des garçons, en les gardant plus longtemps que nécessaire sous la présence de deux jeunes femmes ravissantes... trop ? Ils n'ont même pas réussi à se souvenir si elles étaient humaines ou non, mais une chose est sûre, lorsqu'ils ont relevé la tête, Abey n'était plus là... ils avaient foiré.- Spoiler:
Murmures disloqués d’une obscurité mortifère, tandis que la porte donnant sur la ruelle à l’arrière du club possédait des allures d’endroit mal famé, l’humidité y rampait comme un lépreux désespéré, l’odeur ambiante des déchets semblait vouloir se répandre à des kilomètres… enveloppant un New York éperdu et tentateur. Un éclat de rire sembla ainsi s’esquiver de l’embrasure où une jolie brune apparut subitement, une main glacée tenant d’une manière un peu trop possessive la sienne, alors qu’elle s’avançait à présent à reculons, laissant le prédateur la suivre, marcher dans ses pas, jusqu’à ce que son dos ressente le contact d’une froideur brûlante des pierres du mur, la créature de la nuit se rapprochant traitreusement. Permettant à sa seconde main d’effleurer la courbe douceâtre de sa joue délicate, tandis que ses lèvres ne perdaient en rien le sourire aguicheur qu’elle y affichait depuis quelques secondes…
« Tu devrais songer à retirer cette croix, si tu es tellement désireuse de découvrir ce que je pourrais t’apporter. » susurra-t-il à son oreille, alors qu’elle sentait son cœur battre un peu plus fort.
C’était imparable, elle avait beau savoir que tout irait bien, que les choses ne déraperaient pas, il fallait forcément que son palpitant s’enhardisse de la présence du danger, qui rendait finalement si véridique les appréhensions parfaitement normales de celle dont elle jouait le rôle. Malgré tout, ses craintes allaient bien plus loin que celles du commun des mortels, car c’était quelque chose capable de provoquer en elle ce maudit sentiment de déraison qui la rendrait passablement hystérique dans le sens où il était absolument hors de question que la pointe d’un objet vienne à pénétrer sa chair sous l’influence d’une piqure. S’exécutant presque à contre cœur, il laissa sa main retrouver sa liberté pour venir décrocher le collier et la croix d’argent qui pendait entre ses seins, avant de chercher à la glisser dans son sac, qu’elle n’eut pas le temps de rejoindre, que la chaîne, son pendentif et son sac, terminaient leur course sur le sol, alors que les lèvres glacées du vampire venaient ramper sur sa peau autrefois préservée.
Avant qu’elle ne sente l’une de ses mains s’égarer sur sa cuisse, sinuer sur sa peau, avant de la soulever de manière à la faire quitter le contact douceâtre qu’elle pouvait entretenir avec le sol, ses prunelles quant à elles s’ingénièrent à scruter la ruelle, tandis que son visage lui offrait l’opportunité de s’adonner à redessiner la courbe langoureuse de sa gorge. Mais elle ne voyait rien ni personne, les garçons se faisaient attendre… son pistolet et son poignard se trouvaient dans son sac, à même le sol, en compagnie de sa seconde… arme, sa chaîne d’argent. Néanmoins, en toute logique son abandon faisait parti du plan, et elle n’était pas sensé être obligée de coucher avec la sangsue, dont malgré la beauté suave, ne parvenait qu’à l’écœurer. Oh… elle aurait pu faire comme d’autres, coucher avec eux pour ensuite les tuer, ou coucher pour les tuer pendant l’acte, mais elle n’était pas ainsi, et ce ne serait pas encore aujourd’hui qu’elle deviendrait la traînée d’un moustique. Mais qu’est-ce qu’ils faisaient bon sang ?!
« Si tu cherches tes petits copains, ils sont occupés… - Pardon ? De quoi tu parles ? » tiqua-t-elle en frémissant légèrement sous la manière qu’il eut de goûter sa peau du bout de sa langue. « Abey… dis-moi, quel est le comble pour un assassin de vampires ? » poursuivait-il dans un souffle…
La convainquant définitivement que les choses tournaient mal, d’autant plus qu’elle était persuadée de ne pas apprécier la suite de la conversation. Le comble… Oh… elle connaissait d’ailleurs la réponse, tout du moins celles qui étaient possibles. Mais elle n’avait plus tellement envie de faire la conversation, après tout, il connaissait son prénom quand ils ne l’avaient pas échangé, ce qui ne voulait dire deux choses : soit il l’avait déjà observée les nuits précédentes dans son milieu habituel, soit… il avait fait bien plus que cela en découvrant l’activité qu’elle exerçait en plus avec ses petits compagnons. Ce qui, au fond, était le plus logique, et le plus évident. Sans même chercher à faire la conversation, elle se décida à réagir, avec souplesse, elle le frappa, portant avec précision son attaque, dans l’espoir de lui faire perdre contenance, mais si la poigne se desserra une seconde, exprès ou non, la laissant retrouver le contact du sol, ce ne fut que pour une brève seconde, celle où il vint sans lui laisser l’opportunité d’user de son pieu qui termina sa course plus loin dans la ruelle, tandis qu’elle-même revenait trouver le froid du mur, mains immobilisées au-dessus de sa tête, jambes écartées, laissant l’intimité du cadavre se plaquer contre son ventre.
« Va te faire foutre ! Lâche-moi ! - Et bien, et bien… où est passé ta politesse ? - Elle a pris des vacances à Hawaï. » répliqua-t-elle avec un certain sarcasme, alors qu’il revenait s’imprégner de la fragrance de sa peau, égratignant sa peau du bout de l’une de ses dents, le laissant lécher la gouttelette qui vint dès lors s’en échapper, tandis qu’un fallacieux frisson la saisissait… Pas ça, pas ça, pas ça… se murmurait-elle mentalement. « Tu n’as toujours pas répondu à ma question… - Se faire tuer par l’un d’eux ? » proposa-t-elle en cherchant à éloigner sa gorge de ses lèvres. « Non… devenir l’un d’eux. Qu’en dis-tu Abey… tu voudrais me ressembler ? N’ai pas peur, cela ne fait pas mal. » termina-t-il dans un murmure à peine audible, alors que son regard était revenu joncher le sien. « Non… » expia-t-elle dans un souffle étourdi, elle… elle détestait ce sentiment, cette impression, c’était comme s’il cherchait à rouler son esprit, à le modeler de telle sorte qu’elle accepte plus que… non ! « Tes craintes disparaîtront… plus rien d’autres ne comptera… tu auras de plus grandes capacités, tu pourras… »
Le reste de ses paroles semblèrent s’évanouirent, alors qu’elle s’abandonnait entre ses bras, tandis que ses crocs s’enfonçaient dans sa gorge, juste au niveau de sa jugulaire et qu’elle laissait un cri s’esquiver de ses lèvres, déjà étouffé par… par… elle n’en savait rien, mais il avait libéré ses mains qui étaient venues trouver refuge sur sa nuque, alors que son sang gorgeait ses veines, et qu’il… Il fallut un cri ou une insulte, elle n’en eut pas parfaitement conscience, ce fut plutôt comme si elle rejoignait le sol sans l’avoir désiré, comme si… Une main lui souleva le visage en s’emparant de son menton, lui laissant entrevoir le visage de Devon… tandis qu’un bruit de pas précipité revenait près d’eux.
« Elle va bien ? - Où il est ? - J’ai perdu sa trace. Et Abey ? - Ca va… Je suis désolé… on s’est fait avoir comme des débutants. - Merde… » laissa-t-elle filer de ses lèvres en portant l’une de ses mains à sa gorge, commençant à réaliser pleinement ce qu’il venait de se passer. « Aide-moi… N’y pense même ! Je rentrerai sur mes deux pieds ! » s’exclama-t-elle en repoussant sa tentative de la prendre dans ses bras.
Après tout, elle considérait avoir suffisamment joué à la fille de l’air pour ce soir, et… elle voulait quitter cette saleté de ville au plus vite. Rentrer, emballer leurs affaires et ficher le camp. Ce vampire savait, c’était une menace, un danger, et pourtant, il avait agi… seul ? Elle n’en savait même rien, qu’est-ce qui avait pu retenir les autres au fond ? Au point qu’il avait failli la transformer à son tour, ou tout du moins, la vider de son sang. S’accrochant à son compagnon, ce qui l’entourait tanguant comme si elle venait de donner son sang pour les transfusions, chose stupide au fond, quand on savait que son groupe était receveur universel, autrement dit, ses deux comparses pouvaient lui donner de leur sang sans craindre le moindre rejet, mais les aiguilles… une traitresse envie de vomir la tenaillait brusquement, écœurée par ce qu'il venait de se passer, ainsi qu'un impérieux frissons qui lui donnait envie de prendre les jambes à son cou. Alors un autre jour peut-être, à cet instant précis, tout ce qu’elle voulait, c’était partir, s’éloigner, mettre de la distance entre ce type aux dents longues et elle.
« On s’en va, je veux pas rester ici. Cette nuit on prend la route. - T’inquiètes pas, on s’occupe de tout. » lui glissa Clyde en l’aidant à grimper dans la voiture, où elle se laissa aller, sombrant dans une semi-conscience… sursautant au moindre bruit non loin d'elle, la fallacieuse hantise que l'on vienne une nouvelle fois percer sa chair. Oh ça, on l'y reprendrait à jouer les appas ! Ou pas de si tôt, ou avec un excellent plan et des explications valables de ce qu'il venait de se produire.
AVATAR : Jared Leto, Jensen Ackles, Ashton Kutcher, Jared Padalecki, ... Si un autre avatar vous tente, n'hésitez pas à proposer, je ne mords pas, et je n'ai certainement pas pensé à tous ceux qui pourraient convenir.
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