| | | T. SVENSSON | I wanna use you and abuse you. |  |
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Kale Buxton
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|  Sujet: T. SVENSSON | I wanna use you and abuse you. Dim 18 Oct - 12:30 | |
|   TOTO-LERO « I wanna know what's inside you. » •• AYMERIC TRISTAN SVENSSON ••
feat. Alexander Skarsgård
    alo12, sietepecados & miss_mandy
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DATE DE NAISSANCE : Malheureusement, Tristan ne se
souvient pas du jour exact de
sa naissance qui remonte maintenant à
très longtemps. Il se rappelle toutefois de la date de
sa « mort » qu’il associe aussi à sa renaissance :
un 22 janvier durant l’an 500 et des poussières.
AGE : Figé dans une jeunesse et beauté éternelles
depuis maintenant 1500 ans, il s’est arrêté de
vieillir à l’âge de 33 ans.
LIEU DE NAISSANCE : Suédois de naissance, il a vu le jour non loin de l’endroit
où se situe présentement Malmö, au Sud du pays.
STATUT SOCIAL : Sa vie d’autrefois n’est plus qu’un lointain souvenir pour lui
mais de son vivant, Aymeric avait une femme et trois enfants.
HIERARCHIE : Tout ce qu’il y a à savoir c’est que le Vampire
avait – et a toujours d’ailleurs – les épaules suffisamment
hautes pour assumer une quelconque responsabilité,
importante ou non. Si aujourd’hui il n’est pas devenu Shérif
ou même Adjoint c’est avant tout par choix, plusieurs offres
lui ont déjà été faites. Même en faisant partie de la
caste « lambda » vampirique, nombreux sont ceux qui
connaissent ses facultés et son expérience.
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▬ NOTHING & EVERYTHING
 TOTO-LERO
→ OCCUPATIONS NOCTURNES : Il serait difficile de donner avec exactitude et précision l’année où le tout premier vampire intervint sur Terre et de quelle manière une espèce entière fût engendrée. Si, dans le cas de la race humaine, le mot ‘évolution’ semble avoir une place importante il n’est pas certain qu’il en soit de même pour les buveurs de sang. Des études poussées et avérées montrent bien que l’humain a su faire grandir les siens, notamment en parvenant à vivre beaucoup plus longtemps au fil des siècles. Des vaccins ont été créés, la technologie est entrée dans leur quotidien, la médecine a fait des prouesses incroyables ; tandis que, du côté ‘adverse’, rien pour ainsi dire n’a véritablement changé. Le sang demeure encore et toujours leur unique denrée alimentaire. A ce jour, ces créatures n’ont rien à n’envier à personne car leur condition en elle-même leur apporte déjà tout ce dont ils peuvent avoir besoin, immortalité, force surhumaine, beauté éternelle, etc. Une seule zone d’ombre persiste depuis leur création, problème qui demeure un mystère même après des siècles et des siècles d’existence. Condamnés à vivre exclusivement la nuit, aucun membre de cette espèce n’est parvenu à corriger cette imperfection du mythe qui les caractérise. Ainsi, Tristan occupe chacune de ses nuits dans la gérance d’un bar en plein cœur de Saint-Bel ; son nom : Blooddicted. L’établissement existait déjà avant l’année 2004 mais c’est uniquement à cette date que les choses sont devenues plus ‘officielles’. Avant cela les vampires se regroupaient dans cet endroit anciennement délabré, lieu de passage en matière de trafic de sang humain, et repartaient aussitôt leur bien acquis. Aujourd’hui le bar donne l’impression d’être ouvert à qui veut bien entrer, mais rares sont les humains qui osent s’aventurer de leur plein gré dans cet antre du Diable où les buveurs de sang se réunissent toutes les nuits. Des bruits courent, des rumeurs circulent, certains affirment avoir vu des jeunes gens passer les portes du club et en ressortir avec d’étranges silhouettes élancées. Tous savent pertinemment que le gérant est lui-même un vampire et que ses convives le sont pour la plupart mais personne ne se permet de pointer du doigt les actions de ces derniers, tout d’abord par crainte des représailles mais aussi par impuissance depuis que leurs droits ont été officialisés dans les médias.
→ REGIME ALIMENTAIRE : Parmi tous les vampires peuplant la surface de la Terre, Tristan est de ceux appartenant à la ‘vieille école’ ; autrement dit faisant probablement partie des plus anciens recensés à ce jour. Sa condition lui permit de traverser et de connaître plusieurs époques de l’histoire. Celle durant laquelle il était encore considéré comme un nouveau-né n’avait pour ainsi dire rien à voir avec les temps actuels. Les jeunes vampires se soumettaient sans broncher à l’autorité de leurs supérieurs. Quant à leur nourriture seul le sang humain se proposait à eux, il n’était pas question d’envisager boire du sang animal, cela aurait été ‘dégradant’ pour leur espèce. Alors qu’aujourd’hui les gorges tièdes et lisses semblent s’offrir volontairement à leurs longues canines, il fût un temps où la race humaine ne faisait pas preuve d’autant de témérité superficielle. Les buveurs de sang étaient craints comme pouvait l’être le Diable lui-même et il y avait des raisons à cela. Connus et reconnus pour leur bestialité, il ne restait la plupart du temps plus grand-chose de leurs repas festifs si ce n’étaient quelques os brisés décimés de-ci de-là. Il n’était pas dans leurs habitudes de laisser une quelconque trace de leurs activités. Depuis les temps ont changé, les méthodes ont comme qui dirait ‘évolué’ mais le désir ardant de vider un corps chaud de son sang ne quitte jamais véritablement un vampire. Certains se sont rangés, calmés et se nourrissent désormais exclusivement de sang animal ; Tristan, lui, ne cherche aucunement à lutter contre sa propre nature et continue – comme depuis des siècles – à se repaître d’hémoglobines humaines sans l’once d’un remord. Toutefois ses victimes n’en sont pas réellement car toutes repartent avec autant de membres qu’à leur arrivée.
→ CONVICTIONS : A dire vrai, qu’il s’agisse de l’Ordre de l’Ombre ou bien des Défenseurs de la Lumière, Tristan n’a que faire des différends qui confrontent deux espèces l’une à l’autre. Néanmoins il est important de dire et rétablir la vérité car s’il y a bien une chose qu’il faut avouer, c’est que les vampires ont tout à y gagner en obtenant et en partageant des droits communs à ceux des Hommes. Même si le Suédois ne prend aucunement partie dans cette guerre qui le concerne pourtant de près et persiste à boire du sang devenu publiquement ‘interdit’ aux siens, il ne nie nullement apprécier de sortir librement ses crocs quand bon lui semble ; sans que cela présage forcément une dégustation imminente, bien entendu. L’hystérie de Sybil concernant l’Ordre de l’Ombre l’exaspère au complet car ce qu’ignore la jeune femme c’est que ses supérieurs hiérarchiques n’hésiteraient pas une seule seconde à la rendre à l’état de poussières au moindre délit commis, suivre les règles est leur maître mot. Mais se trouvant encore dans les ‘années folles’ de sa jeunesse vampirique, il comprend – à moitié certes – qu’elle puisse ressentir le besoin de faire rapidement partie de l’espèce et d’être reconnue de ses semblables. Son créateur ne cesse de lui répéter qu’une indépendance est meilleure à toute autre condition, c’est d’ailleurs ce qu’il prône lui-même avant tout. Vampire droit, il connait les lois sur le bout des doigts et n’en enfreint aucune et quand bien même cela viendrait à se produire il saurait parfaitement comment dissimuler chacun de ses écarts. Il n’est régi que par ses propres instincts même s’il respecte comme il se doit les dirigeants de sa communauté. Gentleman ironique, Tristan a de véritables valeurs ; il est poli, courtois et d’un calme olympien qui contraste étrangement avec sa nature de vampire. Vous le verrez toujours demander la permission avant de faire le moindre geste sauf que, et beaucoup le savent, il fera quoi qu’il arrive ce qu’il avait décidé de faire, que la réponse soit positive ou négative. Il s’agit là d’une simple forme de politesse.
 SOPHISTABITCH
→ SIGNES PARTICULIERS :
 Son calme mystérieux en intrigue plus d’un. Avec Tristan, il n’y a jamais de juste milieu. C’est toujours noir ou blanc, le calme ou la tempête. Quand il n’est pas paisible, il est inexplicablement énervé ; et quand il est en colère il ne vaut mieux pas se trouver sur son chemin. Il passe très rapidement de la biche innocente à la brute sauvage qui ne s’arrêtera qu’une fois le crime ultime commis.
A la force d’une seule main, il broierait n’importe quels doigts osant s’immiscer dans sa toison d’or. Autant une claque ne le met pas hors de lui alors qu’effleurer ses cheveux le fait voir rouge.
Il place le groupe sanguin B – au rang suprême de tous les sangs.
Se prélasser dans un bain est une habitude humaine qu’il a acquis au fil des siècles, désormais il ne peut s’en passer.
Il se nourrit exclusivement de jugulaires féminines.
La seule raison pour laquelle il ne dévore pas les animaux domestiques que Sybil a adoptés contre sa volonté c’est que le sang animal le rebute à tel point qu’il ne peut se débarrasser d’eux de cette manière ; les tordre dans tous les sens ou leur arracher des pattes lui a toutefois déjà traversé l’esprit.
Les vampires sont aussi connus pour apprécier les bienfaits d’une nuit charnelle. On pourrait croire que Tristan s’est lassé d’une telle activité avec le temps, ce n’est aucunement le cas. Il est juste très difficile quant à la marchandise. - Citation :
- PSEUDO : Sissi l'hybride
 Mi-Vulcaine Mi-Vampire :bleu):
ÂGE : Plus proche des 22 que des 21 
OU J'AI CONNU LE FORUM : Je suis l'une des mères porteuses du forum 
POURQUOI JE ME SUIS INSCRIT : Ca m'intéressait pas d'administrer sans jouer, Banane 
Dernière édition par Tristan Svensson le Sam 21 Nov - 2:21, édité 19 fois | |
| | | | Kale Buxton
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| | Sujet: Re: T. SVENSSON | I wanna use you and abuse you. Dim 18 Oct - 12:30 | |
| ▬ BREAKDOWN & CONFESSION
502 ans après Jésus-Christ. Quelque part au Sud de la Suède. L’Hiver s’était installé depuis deux bonnes semaines à présent, déposant chaque jour un peu plus sur le sol sa neige généreuse d’un blanc immaculé crainte de tous les Nordiques en cette saison défavorable aussi bien pour l’agriculture que pour les Hommes en règle générale. Les plaines, joliment fleuries en été, n’étaient à ce jour plus visibles. Il ne restait plus aucune trace de vie végétale ni même humaine d’ailleurs. Les alentours étaient déserts, une étendue blanche s’étalait à perte de vue ; seule une maisonnette semblait se démarquer du reste et contrastait clairement avec le climat hostile qui n’inspirait que la mort et le néant. Unique source de vie aux environs, la famille Svensson tentait tant bien que mal de survivre à un énième Hiver qui s’annonçait chaque fois bien plus rude que l’année précédente. Les longues nuits n’en finissaient plus, la température refusait d’accroître un minimum et toute la maisonnée se retrouvait piégée par la nature, confinée entre quatre murs qui peut-être ne supporteraient pas une autre tempête de plus et ainsi s’effondreraient comme un vulgaire château de cartes. Le jour n’était désormais plus qu’un lointain souvenir pour tout le monde. Trois lits se tenaient à différents endroits de la pièce bien trop petite pour contenir autant d’habitants ; les parents occupaient le plus grand lit, les deux aînées dormaient ensemble, quant à la petite dernière elle se contentait d’une couchette fait sur mesure pour un petit gabarit comme le sien.
« LA GRANGE ! »
Réveillé en sursaut par le cri strident de sa femme, le père de famille se redressa d’un coup dans son lit. « Mais pourquoi cries-tu ainsi ? » demanda-t-il calmement tout en se frottant le visage pour tenter de se réveiller doucement malgré les mouvements agités qu’elle faisait devant la fenêtre qui auraient du lui mettre la puce à l’oreille.
« Elle a pris feu ! »
« Quoi ? » demanda-t-il bêtement. Au dehors la neige était drue, il était tout bonnement impossible que la grange faite de briques prenne feu. Premièrement, il faisait bien trop froid pour qu’un feu se lance de lui-même et deuxièmement ils n’avaient pas un seul voisin pyromane. D’ailleurs, ils n’avaient pas de voisins tout court.
« AYMERIC FAIS QUELQUE CHOSE ! » Quelle démence diabolique avait bien pu frapper sa femme ? Afin de ne pas la laisser s’égosiller sans raison et surtout afin de ne pas réveiller le reste de la chambre, même si deux enfants sur trois les regardaient à présent, il se mit debout et rejoignit la jeune femme.
« Que… » bredouilla-t-il. Quelque chose brûlait effectivement à l’intérieur de la grange.
« Sainte Marie, mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs… »
« Maja ! »
« Maintenant et à l’heure de notre mort… »
« MAJA. » Entrée en transe, la jeune femme avait fermé les yeux le temps d’une prière adressée aux cieux. Dévorée par le désarroi, elle n’était plus vraiment elle-même. Les seuls vivres qu’ils possédaient se trouvaient à l’intérieur de la grange, elle contenait d’ailleurs tout ce qui pouvait les maintenir en vie. Toutes les récoltes du dernier été brûlaient vifs sous ses yeux impuissants. C’était une catastrophe ! Qu’allaient-ils tous devenir ? Le Diable en personne venait de s’en prendre à leur famille. Pourquoi ?
« Calmes-toi, je t’en prie ! » Incapable d’y voir clair, Aymeric secoua vigoureusement sa femme par les épaules afin qu’elle revienne à elle mais les sanglots dont elle était victime l’empêchaient de voir et d’entendre ce qui l’entourait. Leurs deux filles, de huit et six ans, les rejoignirent bientôt et s’agrippèrent instinctivement au pan de la robe de chambre de leur mère.
« Il faut que j’essaye de sauver le maximum de choses. Vous deux, restez avec votre mère. Veillez sur elle, je compte sur vous. » dit-il tout en enfilant ses chaussures le plus rapidement possible. « Je vous interdit formellement de quitter cette chambre. C’est clair ? » Les fillettes hochèrent positivement la tête et regardèrent leur père partir en courant.
Vêtu du strict minimum Aymeric s’engouffra dans le froid glacial de cette nuit austère, ses jambes ainsi que sa taille disparaissant aussitôt sous l’amas de neige qui s’était amoncelée autour de la maison. Bientôt sa silhouette ne devint qu’un point infime perdu à l’horizon, on ne le distinguait qu’à moitié. Dès son arrivée devant la grange il comprit que tout effort envisagé serait immédiatement vain. Il n’y avait aucune manière de pénétrer à l’intérieur, l’accès de l’unique entrée n’était même pas imaginable, les flammes – qui avoisinaient probablement les deux mètres – rendaient le passage impossible. Elles dissuaderaient sans aucun doute le plus téméraire des hommes.
Déployant ses dernières forces pour parcourir le chemin inverse, il dut s’y reprendre à plusieurs fois avant d’obtenir un équilibre convenable, du moins suffisant, pour regagner son domicile. A mi-parcours il remarqua une chose pour le moins étrange : la porte était grande ouverte. Même en étant sous le choc, il était persuadé de l’avoir fermée ! Bourrasque de vent ou bien quelqu’un en avait-il profité pour s’éclipser dehors en pleine nuit ? Il préférait de loin la première proposition. C’est en poussant un profond soupir qu’il rentra et referma cette fois-ci la porte derrière lui. Ses cheveux étaient humides, quant à ses habits de nuit ils étaient trempés. L’ensemble de ses membres tremblaient encore dans un rythme commun, par ailleurs de minuscules stalagmites s’étaient formées aux extrémités de ses cheveux, ce qui prouvait à quel point la température extérieure – proche des – 25°C – était basse. C’est uniquement en remarquant qu’il faisait horriblement sombre qu’il réalisa que le feu du salon était éteint ; raison pour laquelle le froid se faisait ressentir aussi bien dehors que dedans.
« Maja ? » demanda-t-il tout en se rapprochant de la chambre à petits pas. Il régnait chez eux comme une espèce d’atmosphère pesante indescriptible. Les feux de cheminées – enfin, ce qui faisait office de – étaient éteints. Même les bougies n’émettaient plus aucune lumière. S’étaient-elles déjà toutes rendormies alors qu’un drame se déroulait un peu plus loin ? Connaissant sa femme sur le bout des doigts, il savait pertinemment qu’elle n’aurait pu aussi facilement dormir sur ses deux oreilles. Quoi qu’il en soit, il n’obtint aucune réponse de la part des siens. Ce qui l’inquiéta d’autant plus à chaque seconde écoulée, sans compter cette odeur nauséabonde qui le prenait aux trippes maintenant qu’il se trouvait sur le seuil de la porte de la chambre. « Ce n’est vraiment pas le moment de plaisanter. Manifestez-vous ! » Sur ces mots un frisson douloureux lui parcourut brusquement l’échine tandis que ce qui semblait être un courant d’air lui passait derrière. Rapidement, bien trop d’ailleurs, les bougies se rallumèrent presque d’elles-mêmes et éclairèrent l’intégralité de la pièce.
« NON ! » hurla aussitôt Aymeric qui se précipita vers le corps inerte de sa femme étendu sur le sol qui baignait dans son propre sang. Ayant dans l’idée de déplacer le corps allongé à plat ventre, il retourna lentement sa femme dans sa direction. La réaction fût immédiate. Accroupi par terre, il rampa littéralement sur plusieurs mètres pour s’éloigner du cadavre éventré duquel on avait retiré la quasi-totalité des organes.
L’envie de vomir était intense, le goût âcre lui remontait d’ailleurs déjà la gorge, il dût placer sa main devant sa bouche pour éviter à tout rejet de s’échapper. Le souffle court, les jambes tremblant de tétanie, il se remit maladroitement debout et ce fût là la plus grosse erreur qu’il commit. La vue qui s’offrit à lui par la suite eut raison de ses dernières tentatives de courage. La main qui barrait ses lèvres l’empêcha de pousser un cri déchirant qui aurait probablement percé le silence jusqu’au prochain village. Deux masses désarticulées reposaient dans la neige sous la fenêtre de la chambre, ses deux filles avaient été brutalement défenestrées. Ses doigts se crispèrent fermement sur ses lèvres et ne consentirent à les relâcher qu’une fois celles-ci endolories au-delà du supportable. Les mots lui manquaient, la stupeur le plongeait dans une léthargie profonde. « Svéa ?! » Le fragment de lucidité qui le frappa sur le moment lui permit de prononcer le prénom de la benjamine, seule potentielle rescapée du véritable carnage. Son lit était vide, il n’y avait aucune trace d’elle nulle part. L’espoir était encore présent en lui.
« Fais reposer, Seigneur… » commença une voix féminine étrangère derrière lui. La jeune femme – qui devait avoir approximativement 24 ans – se tenait debout non loin de l’entrée, dans une magnifique robe de soie rouge. Etait-elle au courant du temps qu’il faisait par ici ? Alors qu’à vue d’œil la peau d’Aymeric virait au bleu cadavérique, celle de la jeune femme était d’une pâleur éblouissante ; aucunement comparable à celle due au froid. La température était si glaciale qu’il en devenait presque difficile de respirer normalement. Seulement l’inconnue ne semblait nullement souffrir de ce détail insignifiant. « … l’âme de Ton serviteur... » reprit-elle ensuite, un sourire malsain et malvenu pour l’occasion peint sur ses lèvres divinement dessinées. « qui Te prie par nous. »
« ARRETEZ ! » parvint-il enfin à articuler tandis que les doigts de la créature se perdaient lentement dans les boucles blondes de l’enfant tout au plus âgée de trois petites années. Mais qui était-elle ? Comment pouvait-elle être responsable des précédents meurtres alors que sa robe ne comportait aucune trace de sang ? Comment osait-elle s’amuser de la situation en récitant une prière normalement réservée aux défunts ?
« Dis adieu à ton papa, chérie. » Pour appuyer ses paroles, la Vampire agita la main de la fillette comme l’on manipulerait les fils d’une marionnette.
« Pitié… »
La suite fût d’une remarquable rapidité. Comme prise d’un subit état d’âme, l’inconnue prit la peine de briser la nuque de l’enfant – lui ôtant ainsi toute chance de survie ou occasion de souffrir – et propulsa le corps sans vie à plusieurs mètres sans aucune difficulté. Avant que ses yeux aient le temps de s’habituer à tous ces mouvements et événements, elle se trouvait déjà à ses côtés. Son regard apeuré croisa le sien, l’instant d’après des canines lui étaient poussées. Canines qui bientôt se plantèrent avec férocité dans sa jugulaire. Sa vie entière bascula devant ses yeux ; son corps blêmi par le froid s’était plus ou moins habitué à une certaine forme de douleur, ce qui lui évita une souffrance supplémentaire au fur et à mesure que son enveloppe corporelle se vidait en hémoglobine. Ses paupières se fermèrent au moment où sa langue ressentit le goût amer d’un sang qui n’était de toute évidence pas le sien. Puis le noir apparut. Suivi du silence. Etait-il mort ? Il était mort.
Dernière édition par Tristan Svensson le Sam 21 Nov - 2:13, édité 8 fois | |
| | | | Sally Driscoll
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| | Sujet: Re: T. SVENSSON | I wanna use you and abuse you. Dim 18 Oct - 12:43 | |
| "teacup humans"  J'aime beaucoup le coup du "ça ne m'intéresssait pas d'administrer sans jouer", à bon entendeur... | |
| | | | Kale Buxton
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| | Sujet: Re: T. SVENSSON | I wanna use you and abuse you. Dim 18 Oct - 15:49 | |
| Mais si, il est trop mignon avec ces gosses  Surtout avec Sam en face qui joue le rabat-joie | |
| | | | Kale Buxton
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| | Sujet: Re: T. SVENSSON | I wanna use you and abuse you. Dim 15 Nov - 23:06 | |
| Deux heures et trois minutes – pour être précis – du matin. Un vendredi soir ou bien un samedi matin, à dire vrai tout dépendait du point de vue duquel on se plaçait. Le jour s’était couché depuis plusieurs heures à présent et la nuit était de toute évidence bien avancée sous un ciel clair et dégagé. Assis au centre d’un canapé quelque peu ‘miteux’ – enfin cet avis n’engageait que lui – et le regard fixant avec intérêt le mouvement de balancier d’une petite horloge posée sur le téléviseur, Tristan patientait. Dans un silence de plomb, il effectua un léger geste afin de poser ses coudes sur ses cuisses et de joindre ses mains l’une à l’autre pour au final y appuyer son menton. Vidée de sa principale occupante, la maison d’Everlee ne payait pas de mine ; à ses yeux ce n’était pas nouveau, la décoration laissait déjà à désirer la première fois qu’il passa la porte mais maintenant qu’il pouvait examiner chaque infime détail de la maisonnette, il en était venu à la fâcheuse conclusion que son domicile était déprimant à souhait. Pas étonnant qu’elle soit psychologiquement fragilisée avec un papier peint aussi jauni par le temps et des meubles aussi vieillots ! C’était une chose de ne pas rouler sur l’or mais il y avait un minimum autorisé, sauf si les humains se fichaient pas mal de la qualité de leur habitat. De l’extérieur, la maison donnait l’impression d’être sur le point de s’effondrer – il l’imaginait déjà entièrement dévorée par les mites – et pour une fois qu’il avait le temps et l’occasion de s’attarder sur l’intérieur, il pouvait dire que c’était du pareil au même.
C’est l’oreille tendue que la porte d’entrée s’ouvrit en grand, laissant ainsi entrevoir deux silhouettes féminines, dont Everlee faisait partie. Un rictus vint discrètement poindre au coin de ses lèvres asséchées lorsque les deux jeunes femmes pénétrèrent à l’intérieur avant de claquer la porte derrière elle. L’inconnue – fort jolie d’ailleurs – trépigna d’impatience comme une vulgaire adolescente sur le point d’assister au concert d’un boys band de renommée mondiale et vint se positionner devant Tristan qui, dans un même temps, leva la tête vers elle en arborant l’un de ses sourires les plus angéliques et faux de surcroît. A deux mètres de là se tenait Everlee, à la fois simple spectatrice et actrice principale de ce qui était sur le point de se produire.
« Vous êtes un vampire ? » s’émoustilla la blondinette.
« Oui. »
« Vrai de vrai ? »
Tristan se contenta d’un hochement positif de la tête comme seule réponse.
« Quand mes copines apprendront ça, elles seront vertes de jalousie ! » gloussa-t-elle avant de placer sa main devant sa bouche. Les yeux pétillants et tous deux sortis de leurs orbites, elle semblait contenir en elle un cri de joie qui ne demandait pourtant qu’à sortir. Sa façon de se dandiner de droite à gauche présageait aussi une envie pressante probablement due à toute cette excitation soudaine. Mais où Diable avait-elle dégoté cette potiche de première ? Quel âge avait-elle ? 19 ans tout au plus, nan ? L’année 2004 ne l’avait-elle pas marquée comme tout être humain normalement constitué ? D’accord elle était jeune – même si son physique non déplaisant lui donnait quelques années de plus – mais à son âge ou à un autre, prétendre n’avoir jamais vu de vampire de ses propres yeux alors que la révélation de leur espèce remontait à presque six ans, c’était tout simplement étrange et absurde. Mais un tantinet amusant.
Le Suédois se remit prestement debout avant de faire lentement et à plusieurs reprises le tour de l’inconnue dont il ignorait tout, et principalement la raison de sa présence dans la maison. La maîtresse des lieux n’était pas du genre à fréquenter des gamines et encore moins des écervelées de ce genre. Alors que faisait-elle ici ? Il n’allait pas tarder à le savoir. Sa main entreprit de caresser la joue rosie par l’intimidation de son interlocutrice mais des doigts vinrent aussitôt enserrer son avant-bras pour lui empêcher tout contact avec la nourriture. Everlee l’attira du mieux qu’elle put dans un couloir adjacent, à l’abri des regards et des oreilles indiscrètes car si ce qu’elle était sur le point de dire venait à se faire savoir par la principale concernée, son plan tomberait à l’eau. L’hésitation l’empara dès l’instant où ses yeux croisèrent inévitablement le regard azur du buveur de sang qui profita de ce moment d’étourderie pour la bloquer contre un mur.
« J’ai trouvé une solution à notre problème. » murmura-t-elle, essayant tant bien que mal de rester impassible alors que la peur se lisait clairement dans ses yeux.
« Nous avons un problème ? »
Evy secoua machinalement la tête de haut en bas avant de déglutir bruyamment sa salive. « Cette fille, qui est dans le salon. Elle s’appelle Tiffany. » elle marqua une pause.
« Mais encore ? »
« Elle n’habite pas ici. »
« Je sais. »
« Tu sais ? »
« Je sais que tu n’étais pas en ville ce soir. Viens-en directement aux faits s’il te plaît, je n’ai pas toute la nuit comme tu peux le savoir. » souffla-t-il tout en lui rendant son espace vital. « Pourquoi as-tu ramené une gamine de Saint Francisville ? » Everlee pouvait s’attaquer à divers jeux avec lui mais s’il y avait bien un sujet sur lequel elle ne pouvait plus lui mentir et ce depuis dix ans maintenant, c’était ses déplacements. Depuis que son sang gelé de cadavre ambulant avait un jour traversé sa gorge innocente, il pouvait savoir en permanence où elle se trouvait exactement.
« Je… J’ai pensé à quelque chose qui pourrait te plaire. Tu l’as dit toi-même, mon groupe sanguin ne court pas les rues. Tu attaches une grande importance au B-. Je pense avoir trouvé l’alternative qui parviendra à nous satisfaire tous les deux. » silencieux, Tristan fronça les sourcils. « J’en ai assez d’être ta réserve personnelle mais tu refuses de me rendre ma liberté. J’ai donc trouvé le parfait compromis. Tiffany est du même groupe sanguin que le mien, elle pourra te contenter. Il n’y a aucune entourloupe, je te le promets. »
« C’est une plaisanterie ? » s’enquit-il, à deux doigts de pouffer de rire.
« C’est très sérieux ! »
« Tu veux à ce point te débarrasser de moi ? » Il leva les yeux au ciel. « D’accord. »
« Tu acceptes ? » demanda-t-elle, les yeux grands ouverts.
« Bien sûr. » Ce fût tellement rapide pour le convaincre que l’on pourrait croire à un mensonge mais la nouvelle enchantait tellement Everlee que cette dernière n’y prêta aucunement attention. Il venait de donner son accord, c’était tout ce qui comptait ! « Va donc te prendre un petit remontant, je me charge de notre convive. »
Un large sourire peint sur les lèvres, Evy suivit son conseil et partit en direction de la cuisine d’un air ravi. Ce qu’elle venait de faire était mal, atroce, horrible voire inhumain mais elle était enfin parvenue à se débarrasser de cette sangsue à dents pointues, c’était le plus important. Elle revint dans le petit salon un verre d’eau à la main et entrouvrit les lèvres, seulement aucun son ne réussit à s’en échapper. Sa gorge était comme noué. Lentement, comme dans une scène au ralenti, le verre glissa entre ses doigts jusqu’à venir se briser en plusieurs morceaux au sol, son contenu se déversant ainsi un peu partout. C’est la main désormais plaquée devant sa bouche qu’elle étouffa un sanglot involontaire en faisant dévier son regard des lèvres ensanglantées de Tristan au corps inerte de la pauvre enfant qui gisait de tout son long sur tapis de la pièce. Quelques instants plus tôt, le vampire s’était octroyé le droit de goûter au cadeau qu’on lui avait généreusement offert avant de lui briser la nuque en une fraction de seconde.
« Pourquoi fais-tu cette tête ? C’est bien ce que tu attendais ? Tu savais très bien ce qui allait se passer Evy. Pour une personne qui prétend lire l’avenir, je vais finir par croire que tu as changé de camp. » Comme à son habitude, son intonation de voix ne changeait jamais, elle était toujours d’un calme déconcertant. Presque dérangeant. « Quoi qu’il en soit, je te remercie pour ce présent. » Alors que la jeune Dotée reculait progressivement, la Créature de la nuit s’avança à son tour dans le but de réduire l’écart les séparant. Avec une force animale, il se saisit de son poignet et l’attira brusquement à lui sans penser un seul instant que ses os pouvaient à tout moment finir broyés sous l’emprise de sa main. « Tu ne comprends donc pas ? C’est toi que je veux et non une pauvre banale étourdie fraîchement sortie du bac à sable. » Sa main libre vint se placer sous son menton. « Tant que je n’aurais pas décidé du contraire, je continuerai à venir, d’accord ? » Le cœur battant à la chamade et le souffle coupé, Evy fit ‘oui’ de la tête. « Bien. » ponctua-t-il tout en la relâchant. « Je repasserai demain soir. Tu as donc tout intérêt à te trouver chez toi lorsque je viendrai. » Une chance pour elle, il était repu, le précédent repas l’avait rempli jusqu’au prochain coucher de soleil. Ses lèvres peintes du liquide rougeâtre encore tiède vinrent effleurer les siennes dans un baiser furtif qui laissa sa marque à l’endroit même du contact. « Tu sais, Evy. » commença-t-il tout en marchant vers la sortie. « Je ne comprends pas ton acharnement. Sans moi, tu serais déjà au fond d’un fossé depuis bien longtemps. » Sur ces mots, il quitta la maison avec une vitesse dont seuls ses semblables étaient dotés. La jeune médecin légiste s’empressa alors de pousser la porte et de la fermer à doubles tours. A cause d’elle, une innocente avait péri. A cause d’elle, toute une famille sera probablement à jamais effondrée. A cause d’elle, Tristan promettait de venir la hanter jusque dans sa tombe. Désormais, une seule solution s’offrait à elle ; elle allait devoir répondre positivement à chacune de ses exigences, en espérant qu’il finirait par se lasser de lui-même.
Dernière édition par Tristan Svensson le Ven 20 Nov - 22:57, édité 1 fois | |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: T. SVENSSON | I wanna use you and abuse you. Dim 15 Nov - 23:33 | |
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| | | | Kale Buxton
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| | Sujet: Re: T. SVENSSON | I wanna use you and abuse you. Dim 15 Nov - 23:40 | |
| Avant lui, le mot Viking ne m'a jamais fait autant d'effet :bleu):  | |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: T. SVENSSON | I wanna use you and abuse you. Dim 15 Nov - 23:43 | |
| - Tristan Svensson a écrit:
- Avant lui, le mot Viking ne m'a jamais fait autant d'effet :bleu):
Pareil :bleu): TB me maaaaanque |
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| | | | | Kale Buxton
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| | Sujet: Re: T. SVENSSON | I wanna use you and abuse you. Dim 15 Nov - 23:48 | |
| Oh punaise comment t'as détruit notre trip là  | |
| | | | Aiden Sellas
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| | Sujet: Re: T. SVENSSON | I wanna use you and abuse you. Dim 15 Nov - 23:50 | |
| Pas cool, il lui a laissé un cadavre dans la maison d'Evy, elle va devoir jeter son tapis  | |
| | | | Kale Buxton
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| | Sujet: Re: T. SVENSSON | I wanna use you and abuse you. Dim 15 Nov - 23:52 | |
| Ben ouais, tu crois quoi ? C'est comme quand t'invites des gens à manger chez toi, c'est pas à eux de débarrasser ou de vider les poubelles  | |
| | | | Nellie Sundberg
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| | Sujet: Re: T. SVENSSON | I wanna use you and abuse you. Lun 16 Nov - 0:41 | |
| Comment t'as trop avancé  ! J'y suis allée y'a trois jours y'avait rien et là... là - Citation :
- Il place le groupe sanguin B – au rang suprême de tous les sangs.
Carrément   *fière* | |
| | | | Kale Buxton
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| | Sujet: Re: T. SVENSSON | I wanna use you and abuse you. Lun 16 Nov - 0:45 | |
| Je saiiiiis dingue hein ? J'ai tout fait aujourd'hui  J'avais zappé ce détail concernant Nellie elle est B- ? Je savais même pas Quand il le saura... :bleu): La voilà la solution pour se débarrasser de Tristan  Evy n'a plus qu'à lui vendre sa copine ! | |
| | | | Nellie Sundberg
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| | Sujet: Re: T. SVENSSON | I wanna use you and abuse you. Lun 16 Nov - 0:48 | |
| ENORME! Alors là, t'es mon mentor, une journée, une fiche, putain, non, je peux pas le croire. Je veux une vidéo qui le prouve Mais oui ! Il le saura pas  Et Evy ne la trahira jamais, elle balancerait pas son groupe sanguin donc à moins qu'il ait un Xème sens pour le flairer, mouhaha . | |
| | | | Kale Buxton
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| | Sujet: Re: T. SVENSSON | I wanna use you and abuse you. Lun 16 Nov - 1:03 | |
| Je le jure sur la vie de mon chien que c'est vrai je le répète tout le temps mais je suis un petit Diesel je démarre doucement x) à chaque fois avec mes fiches, elles restent vides plusieurs semaines et je fais tout d'un coup Le hasard mal fait est si vite arrivé moi je dis  il finira par le savoir  si ce n'est pas en la goûtant directement ce sera en savourant une goutte de son sang si jamais elle saigne de quelque part  | |
| | | | Aiden Sellas
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| | Sujet: Re: T. SVENSSON | I wanna use you and abuse you. Lun 16 Nov - 14:19 | |
| C'est ça, pas touche à Nellie sinon... Sinon tu verras ce qui va se passer....  | |
| | | | Nellie Sundberg
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| | Sujet: Re: T. SVENSSON | I wanna use you and abuse you. Lun 16 Nov - 16:08 | |
| Pauvre chien, t'as vraiment aucun scrupule oh mon dieu c'est trop impressionnant Enfin bon, c'est pratique, t'es efficace comme ça. Hm et si elle saigne jamais ? J'espère que tu dis ça en pensant à moi Evy et non pas par possessivité, je soupçonne quand même fortement la dernière hypothèse mais il faut pas, ça va me tenter moi et mon côté masochiste . | |
| | | | Aiden Sellas
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| | Sujet: Re: T. SVENSSON | I wanna use you and abuse you. Lun 16 Nov - 18:40 | |
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| | | | Kale Buxton
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| | Sujet: Re: T. SVENSSON | I wanna use you and abuse you. Lun 16 Nov - 18:52 | |
| Butter > Laisse-la donc faire ses propres choix Je pense qu'elle est suffisamment grande pour prendre ses décisions seule A mon humble avis, tu n'es pas assez de bon conseil pour lui ordonner quoi que ce soit Nana > Y a qu'en ce moment où je semble en mesure d'écrire  j'ai eu un blocage qui s'est éternisé avant ça ! Donc pour l'efficacité on repassera Il peut la faire saigner de force si tu veux  | |
| | | | Nellie Sundberg
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| | Sujet: Re: T. SVENSSON | I wanna use you and abuse you. Lun 16 Nov - 19:27 | |
| - Everlee Conroy a écrit:
- Nellie Sundberg a écrit:
J'espère que tu dis ça en pensant à moi Evy et non pas par possessivité, je soupçonne quand même fortement la dernière hypothèse mais il faut pas, ça va me tenter moi et mon côté masochiste .
Comment tu doutes de ta meilleure amie c'est pas bien Tu sais bien qu'elle ne veut que ta sécurité  Je doute pas, je constate, regarde-moi cette petite flèche à la fin de ta phrase là, ça veut tout dire Sissi ~ Ouais mais c'est mieux que mon cas à savoir tentative tous les soirs, report tous les soirs . Il risque de perdre Evy s'il fait ça , il s'y risquera pas. Mais t'façon Nellie finira par se "servir" (c'est pas exactement le mot parce qu'au final Tristan il s'en tape, ça l'arrangera mais j'en trouve pas d'autre) de lui tôt ou tard parce qu'elle cherche désespéremment à faire ré-apparaître Uriel d'où le je-me-mets-dans-des-situations-pas-possibles, elle croit qu'il l'a abandonné, donc elle est capable de se jeter dans la gueule du plus méchant des loups juste pour ça, en espérant qu'il arrive au bon moment quoi . | |
| | | | Aiden Sellas
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| | Sujet: Re: T. SVENSSON | I wanna use you and abuse you. Lun 16 Nov - 19:53 | |
| Maiiiiis Bon, je ferais mieux de me la fermer, je m'enfonce à chaque fois | |
| | | | Kale Buxton
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| | Sujet: Re: T. SVENSSON | I wanna use you and abuse you. Lun 16 Nov - 22:38 | |
| Nana > Fût un temps où j'étais dans ton cas c'est assez récent d'ailleurs  sauf que moi je reportais à la semaine d'après Et qui te dit qu'il tient à elle ? Il n'attache que de l'importance à son sang donc s'il venait à la "perdre", Nellie serait là pour prendre sa place Genre elle va se "servir" de lui elle est très drôle cette naine | |
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