| | | SYBIL W._ feel a wave of new love |  |
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|  Sujet: SYBIL W._ feel a wave of new love Mar 27 Oct - 16:29 | |
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Dernière édition par Sybil Wardell le Lun 16 Nov - 0:00, édité 5 fois |
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| | Sujet: Re: SYBIL W._ feel a wave of new love Mar 27 Oct - 16:30 | |
|  © SOPHISTABITCH @ LJ. 
 
 BOUGEOIR ; CHERRRRYBOMB ;
MSTEENQUEEN @ LJ.
 nothing & everything.
→ OCCUPATIONS NOCTURNES : La nuit venue, dès que le soleil laisse disparaître son dernier rayon, Sybil est sûrement la première des vampires à se réveiller. Elle aime se vanter d'avoir un emplois du temps ultra serré, avec un nombre de choses incalculables à faire. Faire un brin de ménage, de décoration, découper des magazines, nourrir ses poissons rouges Auguste et César et son lapin Croquette, aller cueillir des fleurs, confectionner des bouquets, faire des bijoux de perles, faire des pâtisseries et regarder un film. En général, toutes ces activités l'occupent toutes la nuit quatre jours sur sept. Bien sûr, les sorties organisées par Tristan sont obligatoires et sont toujours un vrai bonheur pour la petite vampire qui le presse perpétuellement pour l'emmener dîner. Quelques soirs par mois pourtant, alors que certaines filles ne sortent pas à cause de leurs problèmes "féminins", Sybil elle, profite d'un changement radical d'humeur due à sa condition nouvelle de vampire amateur de sang humain, pour aller quémander un substitue dans les environs de la ville. Danser dans les bars, jouer au billard, bref, tout ce qui est bon pour s'éclater et oublier sa condition d'adolescente habituelle.
→ REGIME ALIMENTAIRE : En tant que petit bébé vampire tout juste sortie de son bourgeon éclatant, la jolie Sybil n'a jamais connu autre nourriture que le sang chaud et sucré des humains. Ce bonheur hebdomadaire, elle le doit à son créateur qui l'a biberonné dès sa transformation à du sang humain. Dès ses premières semaines de sevrage, la jeune fille a montré un goût très prononcé pour un sang particulier, criant contre vent et marée pour avoir du sang O+ (le A+ lui convient aussi tout à fait). Créée pendant la période de législation de la réforme qui oblige les vampires à se nourrir d'animaux, cela n'empêcha pas à Sybil de se découvrir une haine viscérale pour ces derniers. Adepte du sang humain à la paille que lui procure Tristan, elle aimerait aussi se remettre à la chasse une fois de temps en temps, activité qu'elle n'a pu pratiqué que deux fois de sa courte vie de vampire. La dernière fois qu'elle a goûté le sang d'une biche, elle a été malade pendant près de deux semaines : les animaux, c'est mignon, mais ce n'est pas bon dans l'assiette. C'est aussi pour cela qu'elle vit avec un lapin nain chez qui elle ne plantera jamais ses crocs.
→ CONVICTIONS : Autrefois jeune fille sage et obéissante qui suivait un train de vie sans réel intérêt - sauf peut être son activité à plein temps de pom-pom girl qui la passionnait plus que ce sport le suggère - Sybil s'est extrêmement émanciper quoique vivant plus ou moins dans l'ombre de son créateur. Son père, plus que sa mère, accordait une importance considérable au groupe des Défenseurs de la Lumière avant que sa fille cadette ne décède : à l'époque, les Défenseurs n'était qu'un "clan" tout juste créée qui grandissait à vue d'oeil depuis l'annonce sur l'existence des vampires. Vendeurs de limonade aux sourires figés, Sybil n'avait déjà, à l'époque, que du mépris pour ces personnes abruties de religion et de bons principes conservateurs. Après sa transformation, il fut tout naturel pour Sybil qui adorait sa condition de vampire, ainsi qu'amoureuse de sa race et de ses congénères, d'être une fervente admiratrice de l'Ordre de l'Ombre bien qu'elle ne fasse pas encore partie de ce club hyper restreint. Consciente de son jeune âge vampiresque, elle préfère rêver qu'un jour elle deviendra une impitoyable vampire, en lisant en boucle les chroniques de Anne Rice et son vampire Lestat. Déterminée à accéder à des rangs plus haut dans la hiérarchie grâce à un créateur très puissant et une détermination de fer.
→ SIGNES PARTICULIERS :
- La jeune fille possède plus d'une cinquantaine de paires de chaussures.
- Elle adore faire de la pâtisserie et des confitures, même si elle n'en mange plus.
- Elle n'a pas son permis.
- Elle n'a jamais été très croyante.
- Elle a une passion pour les jeux de société et surtout le Cluedo.
- Elle accorde une grande importance à ses cheveux.
- C'est une fan inconditionnelle de films dits "navets".
- En faite, elle regarde surtout les films pour les acteurs.
- Elle a un poster de Channing Tatum dans son cercueil de voyage.
- Elle possède un lapin Craquotte, qu'elle libère les jours de disette pour éviter de le manger.
- Elle n'écoute que de la musique classique et de la pop.
- Plus tard, elle aurait voulu être styliste de mode.
- Elle ne rate jamais les rediffusion nocturnes des Super Nanas et des Teen Titans.
Dernière édition par Sybil Wardell le Dim 1 Nov - 22:08, édité 7 fois |
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| | Sujet: Re: SYBIL W._ feel a wave of new love Mar 27 Oct - 16:30 | |
|  © SOPHISTABITCH @ LJ. 
 
CHERRRYBOMB ; BOUGEOIR ;
POOJA_R@ LJ.
breakdown & confession.
    © ANTONELLA87 ; TOYCIRCUITS @ LJ.1.
Les notes de musique rauque d'un rap raté s'échappait de la fenêtre brisée de l'immense bâtisse coloniale à la peinture blanche effritée. Assise sur les marches de l'entrée, une bouteille de vin rouge roulant entre ses doigts effilées, Sybil regardait ses camarades étudiants tournoyer sous la lune éclatante, abusés par les vices de l'alcool et du sexe. Silencieuse, faisant attention aux moindres plis de sa petite robe volante rose, la jeune demoiselle détestait ces démonstrations abusives de la débauche juvénile. Carl, le ténébreux et nonchalant running back de l'équipe de football de Saint Bel, avait préféré jeter son dévolu sur Heidi, la pulpeuse brune aux yeux verts émeraudes. De toute façon, songea-t-elle, personne n'aime les rousses. Trop grande, des cuisses trop fines et un petit ventre arrondie, Sybil était trop banale pour attirer qui que ce soit. Elle ressemblait à une poupée, et même si petite tout le monde voulait la copier, aujourd'hui, cela ne la faisait passer que pour une petite fille à peine sortie de l'adolescence.
Prenant une lourde inspiration, elle se leva puis marcha mollement vers la forêt qui jouxtait l'immense bâtisse. Légèrement abusée par les quelques bières et verres de vin qu'elle avait bu - peu habituée à consommer beaucoup d'alcool - elle n'était plus vraiment consciente de la trajectoire et du but de sa promenade improvisée. Quelques personnes tentèrent de l'attirer pour entrer dans une espèce de ronde hystérique, mais elle se détacha d'un mouvement de bras, grognant tel un fauve vexé. Elle continua son chemin et pénétra dans la forêt sans hésitation. S'éloigner de ce lieu de perdition était devenue une priorité, surtout qu'elle n'en connaissait même pas le propriétaire, et n'avait en faite aucun ami de présent à cette soirée.
Elle marcha quelques minutes, ses scandales s'enfonçant dans le tapis jaunis des feuilles mortes. Après un instant, elle se laissa doucement tomber au pied d'un épais chêne donc l'écorce devenait peu à peu blanchâtre, signe d'une mort imminente. Elle leva son bras, la bouteille semblant peser des tonnes, puis elle porta le goulot à ses lèvres gercées pour boire une longue rasade.
« Tu ne devrais pas te promener seule »
Dans un murmure, elle sentit le souffle glaciale d'une voix s'écraser contre sa nuque. Sybil hoqueta, haussant ses épaules dans un sursaut. Elle leva la tête, et aperçut seulement l'ombre longiligne d'un corps grand et musclé. Après un instant de doute, plissant les yeux pour s'assurer de l'identité de son agresseur, elle finit par lâcher un rire cristallin en dodelinant de la tête.
« Pendant un instant tu as failli me faire peur » susurra-t-elle en minaudant.
Placé dans l'obscurité, l'ombre s'avança, et s'accroupit et face de la jeune fille, laissant refléter la lumière éclatante sur son visage maculé.
« Tu as refusé que je vienne te voir ce soir pour aller à cette soirée ? »
Le ton du reproche glaça le sang de Sybil qui frémit un instant : avant hier, elle avait osé pour la première fois s'accorder une soirée festive mais dans le seul but de le contrarier, pour se rendre un peu plus mystérieuse et désirable. Elle l'avait vu dans un film de Lauren Bacall.
« Tu as dîné ? » demanda-t-elle en guise de réponse.
Il l'inspecta un long moment, et elle fit de même, tentant de mieux distinguer son regard à travers ses cheveux.
« Non »
En entendant ces mots, elle bondit immédiatement vers lui et s'accrocha à lui, tendant son poignet nue vers son visage.
« Tiens » hoqueta-t-elle sous l'émotion.
A cet instant, elle jura voir un éclair assassin de colère traverser les yeux du vampire. Elle l'avait déjà vu, deux ou trois fois, au cours des quelques semaines où ils se retrouvaient chaque nuit depuis que Sybil avait fait la rencontre de Tristan. A chaque fois, elle savait que cela ne signifiait rien de bon et qu'il valait mieux se taire et attendre sa réaction. Ce qu'il fit rapidement, alors qu'il attrapa violemment son poignet.
« Tu as trop bu » articula-t-il de façon clair et autoritaire.
« Non, non ... juste ... un peu ! Allez ... fais le !! »
Il se leva d'un coup, lâchant son bras la faisant ainsi basculer en arrière : elle s'écrasa sur le sol, le regardant de toute sa hauteur l'air menaçant.
« Je refuse de te transformer. On en a déjà parlé »
« Pourquoi ? Pourquoi tu ne veux jamais me faire plaisir ? »
« Il n'est pas question ici de t'acheter une nouvelle paire de chaussures, mais de te prendre la vie »
« Mais prends la ! Prends la ! »
Elle était à présent à genoux, les yeux humides, cachés derrière ses boucles rousses. Cette décision, elle l'avait prise il y a des jours déjà, mais Tristan refusait : chaque nuit, chaque minute, dès qu'il sentait l'idée revenir dans l'esprit de la jeune fille, il refusait. Elle voulait mourir, elle voulait rester avec lui jusqu'à la fin des temps, elle voulait devenir ce qu'elle se refusait de prononcer : un vampire.
« Je ne veux pas continuer à vivre avec eux. Ils sont laids, pitoyables. Ils croient que leurs vies ont de la valeur en se saoulant et en baisant, mais moi je l'ai trouvé la valeur de ma vie. Je ne veux pas être que ton humaine Tristan, je veux devenir ton élève, ta progéniture. Et je le veux MAINTENANT »
Il restait de marbre, devant elle, les poings serrés et le visage fermé. Il ne laissait transparaître aucune émotion. Après un temps, il desserra les lèvres :
« Non »
Il fit deux pas jusqu'à sa hauteur, puis l'attrapa sous le bras pour la soulever. Elle se laissa faire, étant dans l'impossibilité physique de lutter à toute contrainte. Il se pencha vers elle et souffla dans le creux de son oreille.
« Je reviendrai te voir quand tu auras mûris »
Il continua alors sa route en ne daignant aucun regard à l'égard de Sybil : cette dernière, subjuguée par l'émotion et l'éthanol, plaqua sa main sur sa bouche avant de sentir les larmes chaudes s'écouler sur ses joues poussiéreuses. Puis, hoquetant, en finit par essuyer ses larmes d'un revers de main maladroit et fixa un point sur l'horizon en reprenant sa respiration. Elle esquissa alors un sourire machiavélique sur son visage de poupée : il avait hésité.
    © GIRLYEVIL ; KATE_ANGEL @ LJ.2.
Un cri strident déchira le silence étouffant du cimetière de Saint Bel. Emporté dans le vent glaciale du mois de Décembre, les hurlements se fracassèrent sur les parois pierreuses des mausolées. Les gargouilles et autres statuettes infernales agrippés sur les colonnes granites de l'église voisine. Les cris perdirent de leur intensité, se perdant dans un étouffement : arrachant de sa main droite la terre et l'herbe qui se trouvait à côté d'elle, Sybil se tortillait dans tous les sens, son corps convulsant sous la douleur. Cette souffrance impitoyable devenait presque physique et très vite, elle eut l'impression de ses sensations quittaient peu à peu son corps. Le courage, l'espérance, la foi, la justice, la prudence quittaient son corps dans un essoufflement, les vertus n'ayant plus leurs places dans un socle vide sans âme. Sa main gauche, elle, tenait de toutes ses forces le bras de Tristan qui tenait soulevé son visage, sa main disposé derrière sa nuque. Le griffant, l'agrippant, elle sentait la peau froide se détendre tant elle exerçait une pression dessus.
Très vite, ses dernières forces quittèrent son corps dans un dernier soupire aiguë. Son corps bascula en arrière, et Tristan la posa doucement sur le sol : elle sentit un court instant l'humidité de l'herbe contre son visage et le goût chaud du sang couler au fond de sa gorge. Lentement, ses paupières se fermèrent, laissant place à l'obscurité. Ses doigts se tendirent une ultime fois, et son coeur se figea soudain.
...
Le silence. Le désir et le cauchemar de tout être de la nuit. Le corps de Sybil fut pris d'un violent spasme, comme percuté par un semi-remorque, mais elle ne put bouger d'un cil, pas même ouvrir ses yeux. Son corps était prisonnier comme encerclé d'énormes blocs de pierres. Très vite, elle tenta de relever ses mains et comprit qu'elle se trouvait sous terre, sentant les petits cailloux broyés et les insectes glisser entre ses doigts. Elle se débattit, roula dans tous les sens en tentant de gagner l'air libre, la terre commençant à pénétrer dans sa bouche et ses narines.
Soudain, sa main parvint à la surface, sentant l'air frais s'écraser contre elle : très vite rejoint par son autre main, elle poussa de toute ses forces pour s'extirper de ce trou. Attrapant des racines et de l'herbe à la portée de sa main, elle se hissa et sa tête sortit enfin de terre. Prit de spasmes de peur, son corps se souleva ensuite et se laissa glisser sur le côté de ce qu'il ressemblait être un large trou où on l'avait enterré. Elle se mit à tousser, crachant, et elle fut prise de haut le coeur à cause de la terre qu'elle avait avalé. Elle se roula sur le côté, se mettant en position foetal et sans pouvoir contrôler quoique ce soit, elle se mit à hoqueter. Soudain une main se posa sur son épaule la tirant doucement en arrière.
Tournant son visage, elle ouvrit enfin ses yeux et un cri de stupeur lui échappa quand elle aperçut le visage de Tristan. Sans rien dire, il l'aida à se relever quelque, et une fois à genoux, elle lui sauta à la gorge pour le serrer de toutes ses nouvelles forces dans ses bras.
« Ca y est ? Ca y est ? Ca a fonctionné ? » hoqueta-t-elle avec difficulté.
Il ferma les yeux et passa ses bras autour d'elle pour la rassurer.
« Oui c'est fini »
Elle le serra encore un peu plus fort.
« Oh j'ai eu si peur, j'ai cru que je ne te reverrais plus jamais »
Ils restèrent quelques instants immobiles, puis il s'écarta un peu pour la lever un peu plus : à présent debout, il passa sa main sur son visage pour écarter ses cheveux collants et terreux.
« Comment te sens tu ? »
Sybil arqua un sourcil, étonnée de la question avant de se la poser à elle même : tout en étant décédée, elle se sentait pour la première fois ... en vie. Dans son cerveau bouillonnant, des envies lugubres et étranges s'emparaient d'elle. Elle était à présent ravagée par des pulsions et des vices comme la colère, l'orgueil, la gourmandise, tous ce qu'on lui avait proscrit autrefois lui semblait à porté de main. Mais le mieux dans tout cela, c'est qu'elle jouissait de l'immortalité. Elle esquissa un sourire, et se mit à trépigner sur place en jetant un regard pétillant à son créateur.
« J'ai très très très faim »
Il sourit discrètement à son tour, amusé de la petite prédatrice qu'il venait de créer. L'aidant à marcher, il la mena hors du cimetière pour regagner le coeur de la ville.
« Qu'est ce qui te ferait envie ? »
« Hanlalala je sais pas ... un brun ! Oh oui Tristan je veux un brun !! Bronzé et avec des yeux bleus !! Ou verts !! Et je veux qu'il ait des grooos muscles ! Et une énorme veine juste ici ! » Elle désigna du bout de son doigt l'emplacement de la veine de son cou qui n'était évident plus apparente.
« Un mannequin quoi ... » soupira-t-il
Elle trépigna sur place, passant sa langue sur ses dents : à cet instance, ses canines sortirent de leur cachette, la faisant sursauté. Elle se figea, lâchant le bras de Tristan et plaqua ses mains sur sa bouche en gémissant un « OH ! ». Tristan hocha la tête, et revint vers elle.
« Tu vas devoir t'y habituer ... elles apparaissent quand tu as faim et que tu es excitée »
« HEIN ? Quand je suis excitée ?? »
Silence.
« Oui. Quel est le problème ? »
« Je suis condamnée à coucher avec des vampires si je veux pas choquer quoi »
« Je t'assure qu'il y a des tas d'humains ou autres créatures qui coucheront plus avec toi avec ces crocs que sans »
« Euh ... t'es pas en train de mettre en doute mon potentiel sexuel là ? »
Il s'arrêta un instant, se mit à réfléchir et la regarda de nouveau :
« Eh bien oui, on dirait »
Elle le fusilla du regard.
« Je ne suis pas sûre d'apprécier l'éternité à tes côtés » grogna-t-elle.
« Dis toi que je souffrirais peut être plus de toi de t'avoir à mes côtés »
Il reprit sa marche et passa les grilles en fer du cimetière. Elle le rattrapa à la hâte en fronçant les sourcils.
« Je suis sûre que je serais une vampire géniale »
« Je vais d'abord te nourrir, on avisera après de la définition de l'adjectif géniale »
Dernière édition par Sybil Wardell le Dim 15 Nov - 23:58, édité 7 fois |
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