Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. »

Invité

•• HARPER HAWTHORNE ••
feat. Ryan Gosling

Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 54357856

DATE DE NAISSANCE :

LIEU DE NAISSANCE :

GROUPE SANGUIN :

STATUT SOCIAL :

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NOTHING & EVERYTHING

FACE A SON POUVOIR :

FORME FAVORITE :

OCCUPATIONS DIURNES :

CONVICTIONS :

SIGNES PARTICULIERS :

Citation :: PSEUDO : Suspense or not suspense ? … Gipsy
ÂGE : Celui de la majorité
OU J'AI CONNU LE FORUM : Dans un bouquin qui s’appelle « Trouvez une occupation pour arrêter de bosser philo tous les soirs »
POURQUOI JE ME SUIS INSCRIT : Parce que mes faiblesses sont mes plus grandes qualités

Invité

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BREAKDOWN & CONFESSION

ANECDOTES :

C’était toujours le même rêve. Si un psychiatre s’était penché sur son cas, ou toute personne se déclarant capable de lire les mystères de l’inconscient comme le faisait Freud, le constat serait le même : Il était tellement affecté par la mort de son chien qu’il en prenait l’apparence dans ses rêves. Logique. A l’exception que le jeune Harper de dix-huit ans n’aurait jamais avalé ces conclusions. Cela semblait si réel, ça ne pouvait pas être qu’un « rêve ». La vérité c’est qu’il préférait croire à une liberté illusoire plutôt que devoir renoncer à tout échappatoire, se réveillé et prendre une grande claque que l’on appelle la réalité.

Une fois de plus le jeune Hawthorne verrouilla la serrure de la porte de sa chambre avant de se glisser sous les draps réconfortants de son lit. La couette remontée jusqu’à son nez, ses yeux restaient rivés sur l’unique séparation en bois. Il voulait juste disparaitre, là sous la couverture comme le font certains magiciens. La plupart des enfants s’imaginent qu’un monstre vit sous leur lit, attendant impatiemment la nuit pour les dévorer, sauf Harper. Son esprit n’avait pas eu besoin de le créer parce que depuis son enfance, il savait que le monstre existait bel et bien, qu’il n’avait pas élu domicile sous son lit pendant la nuit mais qu’il devait au contraire supporter de vivre avec tous les jours. L’école ne lui avait pas révélé l’horrible vérité qu’est l’inexistence du Père Noël, mais plutôt qui était le mec en rouge avec une fausse barbe dans le centre commercial. Après sans doute de longues minutes à fixer la porte, il finit par s’endormir.

Ses foulées s’accéléraient, son cœur battait si vite qu’il avait l’impression qu’il allait exploser dans sa poitrine. Il ne sut dire combien de temps, c’était comme si ça n’avait plus aucune importance. Les sons et les odeurs affluaient de partout. Il commençait doucement à si faire et pourtant à cet instant, il était incapable de distinguer quoi que ce soit, il ne ressentait que le besoin de fuir, mais il ne comprenait pas d’où cela pouvait bien venir. Quelque chose l’empêchait de retourner chez lui, il ne pouvait pas mettre de nom sur ce sentiment, mais il le savait, c’est tout. Il ralentit, s’apaisa. Il vagabonda par-ci, par-là pendant plusieurs heures. Il traversa un parc où il était certain de ne jamais avoir mis les pattes. Après sa course un peu folle, il s’était dit que boire un peu ne serait pas de refus. Il avait repéré un petit étang, s’y était approché dans l’espoir de s’hydrater un peu avant de finalement renoncer. Certains de ces collègues à quatre pattes étaient passés par là et de toute évidemment pour soulager un besoin pressant et non étancher leur soif. Il se décida soudainement à rentrer chez lui, pour une raison qui lui était aussi incompréhensive que celle qui lui avait pourtant fait quitter la maison familiale il y a plusieurs heures. Enfin, plutôt il s’en doutait, il ne savait plus trop bien.

Au fur et à mesurer qu’il rentrait chez lui, la fatigue commençait sérieusement à se faire sentir. Peu à peu il sentait ses nouvelles capacités le quitter. Il était pourtant toujours un chien mais ses sens étaient perturbés. Ses oreilles sifflaient, sa vue devait ressemblée aux effets d’un champignon hallucinogène et sa tête lui faisait un mal de chien… Bon d’accord, il avait un horrible mal de crâne. Confus, il n’avait plus aucune idée vers où il se dirigeait, quelques instants plus tôt pourtant, quand ses sens, enfin, ses autres sens n’avaient pas eu la magnifique idée de dérailler, il lui semblait ne plus être trop loin de chez lui. Lorsqu’enfin ce supplice se termina, les seules choses qu’il perçut furent de la lumière aveuglante, un crissement de pneus et un choc. Un très léger choc mais qu’il lui fit se rendre compte qu’il était truffe à truffe avec le pare-choc d’une voiture. Un homme sortit de la voiture rouge, il percevait à nouveau toutes les couleurs, mais Harper ne lui laissa pas le temps de voir s’il venait de tuer un chien, il avait détalé en quatrième vitesse.

Lorsqu’il ouvrit les yeux, il était dans son lit. Il comprit de qui l’avait sorti de la liberté de son inconscient, son père. Comme si cela ne lui suffisait pas de lui pourrir sa vie, la vraie, il fallait en plus qu’il pourrisse celle qu’il s’était construit dans son imagination. Le paternel vociférait sur sa mère, une fois de plus. Harper soupira de déception, il jeta un coup d’œil à l’heure qui affichait six heures du matin. Il voulu se retourner mais s’arrêta net, surpris de constater qu’il avait mal et que de toute évidence, il avait prit un coup, ou un choc… Il ne rêvait peut-être pas tout compte fait.

Alors qu’il réalisait subitement qu’il avait sans doute un don, et qu’il avait par la même occasion mal interprété certains signes qu’il croyait dissocier de ces deux mondes, les braillements paternels le ramenèrent à la réalité. Tout du moins c’est ce qu’il croyait car ce n’était plus vraiment Harper qui avait décidé d’enfiler les premiers vêtements qui lui passaient sous la main, ni de déverrouiller la porte de sa chambre et de faire face.

***

Neuf ans d’errance, une bonne vingtaine de ville derrière lui et maintenant Saint-Bel. Il n’avait pourtant jamais voulu en arriver là, et bien que la société semblait prendre un malin plaisir à être sens cesse en constante évolution, une chose pourtant – qui est sans doute l’unique d’ailleurs – paraissait immuable : Il ne s’expliquait toujours pas son geste, ou plutôt son incapacité à se contrôler. C’était comme si tout raisonnement s’était évaporer de son esprit, laissant émotion seule aux commandes. Ce comportement imprévisible l’avait poussé à suivre des routes tortueuses, à prendre des sens interdits, à cédez la priorité à une carrosserie pour cacher son moteur un peu étrange, à dépasser les limitations de vitesse pour fuir. Se fuir lui-même. Saint-Bel ne représentait pour lui qu’une étape sur un parcours sans fin, la preuve, il vivait à l’hôtel. Quand on y réfléchit cinq minutes, c’est vraiment le pied : Pas de ménage, pas de cuisine, pas de responsabilité si ce n’est payer la chambre. L’argent, il n’y a jamais accordé une grande importance, si ce n’est le pouvoir de changer les hommes. Il était pourtant difficile de vivre sans et les années de galère sur le trottoir, il pensait en avoir eu assez pour son compte. C’est pourquoi sa première priorité en débarquant dans sa nouvelle ville d’accueil fut celle de trouver du travail. Madame la chance avait été de son côté ce jour là, allez savoir, peut-être éprouve-t-elle quelques remords, il avait pu trouver job sans difficulté au Glorious Tankard.

Il était d’ailleurs derrière le bar, préparant des bières pour deux des quelques rares clients d’une fin d’après-midi de semaine. Il déposa les deux bières, parfaites bien entendues, sur un plateau afin que le serveur les apportes aux clients. C’est en relevant la tête qu’il vit une jeune femme blonde entrée dans le bar. A voir son air pas très assurée, elle ne devait venir très souvent. Elle s’approcha du bar et s’y accouda sans pour autant s’asseoir.

« Je peux vous servir quelque chose ? »

demanda-t-il poliment.

« C’est vous Harper ? »

lui répondit-elle, sèchement. D’accord, alors qui a dit que le client était roi ? Et puis de toute évidence, elle ne semblait être prête à consommer, quoiqu’un rhum la détende certainement, donc Harper n’aurait aucun scrupule à se montrer moins civilisé.

« Oui, pourquoi ? C’est le FBI qui me cherche ? »

Certes, ce n’était pas le FBI, c’était tout juste la police judiciaire du comté d’où il était originaire –et qui avait d’ailleurs sans doute laissé la poussière s’accumuler sur le dossier- mais Harper avait toujours de loin préférer utiliser son humour particulier.

« Très drôle. »

Quelque chose lui disait qu’elle ne le pensait pas le moins du monde.

«Je suis venue vous prévenir, ne tournez pas autour de Nellie. »

Il arqua un sourcil amusée, ça sentait le coup de la meilleure amie affolée à plein nez – d’ailleurs, il pouvait sentir la méfiance qu’elle avait envers lui- c’est sûr que faire dormir un ‘sans abri’ sur son canapé, c’est interdit…

« J’vous préviens, j’suis médecin légiste, je sais manier un scalpel. »

Harper ferma les yeux deux petites secondes, prit d’un léger vertige, strictement rien à voir avec les pseudos menaces de l’enragée qu’il avait en face de lui. Il jeta un coup d’œil à sa montre, son service était sur le point de se terminer, et le soleil lui n’allait pas tarder à se coucher, l’obligeant à revêtir pour une nuit son habit de fourrure favori.

« C’est rassurant de savoir que s’il m’arrive quelque chose, c’est vous aurez le privilège de me disséquer. »

dit-il tout en lui servant un verre de whisky qu’il posa sur le comptoir. Il sortit ensuite un billet de cinq dollar – un pourboire laissé plus tôt par un généreux c lient qui avait trop abusé sur sa cousine la vodka – qu’il déposa dans sa main en ajoutant un

« cadeau de la maison. »

Il fit signe à son patron qu’il s’en allait et tourna ensuite le dos à sa fausse cliente, entrainant avec lui un sac poubelle bien remplie – voyez par là un au revoir original, et puis faut bien que quelque les sortes ces foutues ordures. Tout en s’acquittant de sa bonne action du jour, il aperçut un chien. Il le voyait pour la toute première fois, et pourtant, son odorat lui semblait reconnaître l’animal. Sans que cette odeur ne lui soit vraiment familière, il était persuadé qu’elle ne lui était pourtant pas totalement inconnue. Son corps le sortit pourtant bien vite à ses réflexions, lui rappelant, à l’aide des teintes orangées que prenait le ciel, qu’il était temps pour lui de se mettre à l’abri de tout regard s’il voulait garder un semblant de vie normale.

Les nuits de pleines lunes n’avait jamais vraiment été son fort. Eprit de la liberté que lui offrait son pouvoir, il refusait néanmoins ce qu’il considérait comme une prison corporelle lorsqu’il était contraint à une dépendance sur laquelle il n’avait aucun pouvoir. Etrangement, c’était le même sentiment qui l’avait habité il y a bien des années, alors que son pénitencier était l’enveloppe humaine de laquelle il ne pouvait s’échapper. Il vivait ces nuits dans l’errance, ce sentiment de n’appartenir à rien. Un doux châtiment qui prenait un malin plaisir à lui rappeler que la solitude faisait et ferait toujours partie de sa vie, qu’elle était même nécessaire s’il ne voulait pas commettre les mêmes erreurs que dans le passé. Il arpentait les rues depuis plusieurs heures déjà, il avait passé une bonne partie de sa soirée près des rares endroits les plus animés de la ville. Les aiguilles de l’horloge avait finit par renvoyer dans leur lit les plus vigoureux des fêtards. Ses sens, bien plus son ouïe et son odorat que sa vue, lui signalèrent une présence familière dans la rue. Ses yeux la distinguèrent enfin alors qu’elle faisait face à un homme. Harper sous son pelage noir se confondait facilement avec l’obscurité de la nuit. Bien qu’il voyait cet homme pour la première fois, une chose était certaine, il avait une incroyable envie de lui uriner dessus. Il ne bougea pourtant pas, laissant la situation évoluée en restant dans le rôle du spectateur, intrigué par la situation qui lui rappelait inévitablement ces moments où Nellie c’était confié à lui, enfin, à lui sous son apparence canine. Il avait jugé bon de ne pas intervenir, de ne surtout pas, une fois de plus, vouloir jouer au grand protecteur qui il le sentait, était pourtant ancré en lui comme si une part de Buck subsistait. La jeune femme s’éloignait de son bourreau du soir, pour de bon cette fois. Son odorat avait détecté une autre présence, il était certain, mais c’est pourtant sous un ciel qui s’éclaircirait peu à peu qu’il se décida à prendre le chemin du motel. C’est alors qu’il reprit son apparence humaine et qu’il se plongea dans ces draps, songeant à cette ville qui lui plaisait, finalement, il resterait peut-être un peu plus de six mois. Il avait l’impression que dans le fond, elle lui ressemblait, mystérieuse.

Il s’éveilla alors que les rayons du soleil dominaient la chambre par leur lumière. Conscient que le petit-déjeuner faisait déjà parti du passé, il jeta néanmoins un coup d’œil à l’horloge numérique posé sur la table de chevet qui ne fit que confirmer ce qu’il pensait déjà. Il s’extirpa, non sans mal, des draps et fila illico-presto sous la douche. Il ajusta l’eau volontairement froide, espérant que les jets glacés puissent le sortir de cette somnolence qu’une nuit blanche et quelques heures de sommeil avait pourtant condamnés à sa journée. Il sortit de la douche, enfila une chemise à carreaux et un jeans. Il prit le temps d’emporter le strict minimum, à savoir ses cigarettes et la clé de la chambre, que déjà ses pas l’emmenaient vers la réception de l’hôtel. Il sortit une cigarette du paquet, la porta à ses lèvres, il s’apprêtait même à l’allumer avant qu’il ne soit stoppé net par quelque chose qui ne devait pas se trouver là, ou plutôt qui n’y était pas. Ce petit jeu absolument débile avec la cigarette, il l’avait instauré avec Nellie, c’était leur façon de se dire bonjour, elle lui rappelant- amusée ?- le règlement de l’hôtel, lui s’en fichant complètement. Mais Nellie n’était pas à la réception, - remplacée par un vieux type, non mais franchement, quel accueil- il replaça la cigarette dans son paquet, comme si tout à coup, l’envie n’était plus au rendez-vous. Par contre, étant donnée la conversation qu’il avait surprit cette nuit, sa conscience, et ses jambes suivaient, lui dictait de se diriger vers Main Street. Alors qu’il n’était plus qu’à quelques mètres du lieu d’habitation de la canadienne, Harper pouvait sentir qu’elle était effectivement bien chez elle, remarquez que l’avantage certain de ce sens surdéveloppé, c’est celui de ne pas avoir à poireauter pendant des minutes devant une porte, et parfois même pour rien.

Lorsqu’elle lui ouvrit la porte, il était évident qu’il n’avait besoin d’aucune de ces capacités pour comprendre que quelque chose n’allait visiblement pas.

« Je ne m’attendais pas à te voir. Les croissants de ce matin étaient infects ? »

Des yeux rougis, un nez bouché, une voix fatiguée qui laissait présagé une courte nuit. Il n’était pas stupide, inutile de lui faire gober la thèse du rhume.

«T’étais pas à l’hôtel. »

« Logique puisque je suis ici »

tenta-t-elle avec une pointe d’humour qui passa plutôt pour un essai raté. Les yeux de Harper se posèrent ensuite sur la feuille de papier que tenait Nellie. Lorsqu’il releva les yeux, c’est face aux siens chocolats débordants de larmes qu’il du faire face.

« Il est pas venu. J’ai failli mourir et il n’est pas venu. Pourquoi ? Pourquoi il venait et maintenant il ne vient plus ? »

Elle fit une boule avec la feuille de papier qui était par ailleurs déjà chiffonnée tant elle l’avait tenue fermement, et l’envoya valser quelques mètres plus loin. Comme si ce flot de confessions était une invitation à entrer, il fit un pas à l’intérieur et referma la porte, désemparé malgré lui devant tant de détresse, devant cette souffrance de l’abandon qu’il avait lui aussi connut sous une autre forme.

« J’ai besoin d’être en danger, je sais que je suis folle, mais il faut qu’il revienne. »

Il savait que construire tout lien lui était fatal, sa condition l’emprisonnait dans le mensonge et l’isolement, le conduisait inexorablement vers la fuite. Pourtant, cette fois il n’y réfléchit plus, parce que quoi qu’il arrive, le lien s’était créé le soir où elle l’avait laissé entrée chez elle, où elle lui avait offert un espoir de sécurité et de protection qu’il n’avait pu trouver ailleurs. Instinctivement, comme il aurait voulu qu’on le fasse avec lui bien des années auparavant, il la prit dans ses bras. Il ne dit rien, la laissant pleurer jusqu’à ce qu’elle soit tellement épuisée qu’elle ne pouvait même plus pleurer.

« Tu crois que ton canapé est d’accord si je reste ici ? »

MON RIZ

Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 852801

Ryan t'es réservé I love you

MIKOOOOOOOOOO D'AMOUR Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 680866

Mouhahaha, si tu rates ton année ce sera de ma faute! Parce que bon, j'ai quand même été la tentation incarnée sur ce coup là hein Laughing

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PS : OH LA CHANSOOOOOON en plus, petite pensée pour moi, avoue! I love you

BREF, BIENVENUE. Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 226982

J'adore quand tu prends Ryan en avatar Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 680866

J'arrive jamais à arriver la première pour réserver les avatars Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 16474

Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 16474

En tout cas, bienvenue cher Doté Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 101208

Ow ma Mikooooow Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 34285

Ca fait plaisir de te voir là. Ca fait doublement plaisir de te voir là en Ryan :bleu): Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 680866

Invité

P'tite question là, parce que j'suis en train de me prendre la tête, c'est moi où ma fiche a un format bizarre ? Qu'est-ce que j'ai encore foutu

MON CANARD -> Merci I love you

DIEU -> Nan a toutes les questions Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 931620

En tout cas si j'la rate, ce sera pas à cause de toi Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 135426

J'ai tellement bossé pendant presque deux semaines pour le test dispensatoire de demain que là je sature, ça me pompe

Toute façon, même si j'le rate ça va pas me tuer... Mais ouais, c'est trop la tentation là Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 781746

Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 781746

Entre autres oui Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 852801

Pis aussi parce que j'adore Dario Marianelli et que pour une fois, j'avais envie de mettre ce genre de chanson dans ma fche Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 135426

SISSI -> T'es pas assez rapide Laughing

Mais merci Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 226982

Et sinon c'est Changeur hein xD

CORPSIE -> Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 249816

Merci

Je pense voir ta fiche "normalement" moi Suspect

Minceeeeee

j'ai vu "pouvoir" donc je suis pas descendu pour voir la suite qui parle de la forme favorite Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 92106

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Euh non, y'a juste la chanson à la limite que tu peux centrer mais elle est bien comme ça Suspect

NAN ? MEME AU BIENVENUE ? Laughing

Bon d'accord, dégage alors!
T'as bien raison, souffle un peu, et crois-moi, tu vas pas les rater, tu peux pas les rater en ayant travaillé autant sauf bien sûr si tu te laisses submerger par le stress donc surtout reste zen I love you

!
Je l'adore aussi! Enfin j'aime toutes les musiques "ambiance" qu'il fait!

Ca fait triplement plaisir que tu sois un shifter, j'ai oublié de le préciser Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 466347

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Invité

En fait j'viens de comprendre, y a que chez moi que ça foire, en fait, la partie du post est "rétrécie", mais ça fait ça que sur ma fiche Neutral

Du coup je sais pas voir le nombre de lignes ou des trucs comme ça ... et aussi ça fait super moche quoi ... bon j'arrête de chipoter pour ce soir, ça m'énerve ... Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 871868

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SISSI -> Les admins de nos jours Razz

DIEU -> C'était une question le bienvenue ?

Verdict demain Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 622637

CORPSIE -> Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 226982

EUH...

Nous n'avons jamais eu cette conversation.
Merci.
Au revoir.

Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 762667

Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 762667

Invité

Gipsy

Bienvenue

Invité

Wééééé Gipsy cheers

Bienvenue

Invité

Merci

Invité

J'AI FINIIIII Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 622637

oui je sais il manque quelques lignes à la première anecdote mais on vas passer dessus hein ? =)

Ah

Je vais donc pouvoir aller voir les Cranberries, merci Miko. Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 906573

Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 906573

Citation :: « J’vous préviens, j’suis médecin légiste, je sais manier un scalpel. »

Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 74717

J'adore!

Citation :: Bien qu’il voyait cet homme pour la première fois, une chose était certaine, il avait une incroyable envie de lui uriner dessus.

Citation :: Il savait que construire tout lien lui était fatal, sa condition l’emprisonnait dans le mensonge et l’isolement, le conduisait inexorablement vers la fuite. Pourtant, cette fois il n’y réfléchit plus, parce que quoi qu’il arrive, le lien s’était créé le soir où elle l’avait laissé entrée chez elle, où elle lui avait offert un espoir de sécurité et de protection qu’il n’avait pu trouver ailleurs. Instinctivement, comme il aurait voulu qu’on le fasse avec lui bien des années auparavant, il la prit dans ses bras. Il ne dit rien, la laissant pleurer jusqu’à ce qu’elle soit tellement épuisée qu’elle ne pouvait même plus pleurer. « Tu crois que ton canapé est d’accord si je reste ici ? »

C'est Evy qui va hurler Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 931620

Invité

Tu devrais me donner des défis plus souvent Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 74717

Je valide

Petit cabot ² Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 424500

Il aime pas sentir le derrière des gens

Vire du canapé de Nellie tout de suite Harper Hawthorne * « life is like a box of chocolates, you never know what you’re gonna get. » 424500

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» Pursy Harlow • her life is a puzzle and she losts the missing piece.